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dialoguonns

AU CITOYEN BILLON JEAN-LOUIS EUGENE

27 Mars 2013 , Rédigé par dialoguonns

Je vais m’adresser à l’ivoirien, au jeune, à l’intellectuel, BILLON JEAN-LOUIS EUGENE. Qui a un cursus scolaire bien rempli. Je veux dire qu’au plan de la réflexion, de l’analyse, de la critique et de la capacité à tirer les conséquences de tout acte, Monsieur BILLON JEAN-LOUIS ne souffre d’aucun handicap. Les faits qui me poussent à m’adresser à mon cher frère sont d’une telle gravité que je ne pouvais me taire. L’acte que tu as posé ne reflète pas ton âge et le modèle que tu représentes. Tu étais une référence en matière de réussite sociale et politique pour de nombreux jeunes. Ces derniers croyaient tant en toi qu’ils ne pensaient pas que tu pouvais tomber aussi bas. Malheureusement, on ne peut cacher le soleil avec sa main. Chassez le naturel, il revient au galop. Doit-on se convaincre que tout ressortissant du Nord est obligé de se retrouver au RDR ? Je souhaite que tu nous expliques un jour ce que tu reproches au PDCI. Au point que tu te comportes comme Monsieur GNAMIEN KONAN de l’UPCI, ZAKPA KOMENAN du PDCI (ancien Ministre de BEDIE). En somme, on peut affirmer que certains hommes politiques sont entrés dans ce domaine par accident. Il n’y a que des politiques calculateurs au regard de leurs intérêts, de leurs affaires, leur région, leur clan. Ils ne tardent pas à abandonner leurs suiveurs pour embarquer sur un autre navire. Sous BEDIE, GBAGBO et même GUEI, tu avais la parole en verve. Dans la presse en général, tu donnais des cours de gestion de la chose publique aux Ministres, aux Députés, aux chefs d’Etat qui se sont succédés. En ta qualité de Président de la Chambre de Commerce, tes interventions, tes solution théoriques pour améliorer les conditions de vie des ivoiriens furent appréciées. Malheureusement, notre très cher Président de la Chambre de Commerce avait sa petite idée derrière la tête. En réalité, les coups de pied que tu donnais dans la fourmilière servaient à te faire remarquer pour accéder à un poste de Ministre. Tu n’as pas assez de coffre pour aller au bout de tes idées de tes ambitions. Car sous GBAGBO, on te présentait comme candidat aux élections présidentielles. Tu le faisais croire par tes propos et tes actes. Tu utilisais la subtilité pour présenter ses objectifs en matière politique. Finalement, tu t’est dégonflé. Tu as fait croire à un moment que tu étais militant sinon proche du PDCI en qualité de Maire de DABAKALA. En réalité, tu n’as jamais défendu les couleurs, de manière officielle, de ce parti. Te cachant toujours le droit de réserve que t’imposait (selon toi) le titre du président de la Chambre du Commerce, tu as toujours utilisé les relations de ton père avec les barons  du PDCI pour te faire une place dans la vie. Pourtant, tu as toujours détesté militants et responsables de ce parti. BILON tu n’es pas politique, tu es un homme d’affaires. Tu sèches ton habit où le soleil brille. Aujourd’hui, à l’épreuve de la gestion des affaires publiques au poste du Ministre du Commerce, tu détiens un bilan négatif. Maître des solutions théoriques pour atténuer les souffrances des ivoiriens sous les régimes précédents, tu es devenu muet, inefficace, incapable de réduire le prix de l’essence, du gaz, du riz, du savon, de l’électricité. Tu préfères laisser le coup de la vie prendre un ascenseur. A quoi ont servi toutes tes sorties comme donneur de leçon dans le passé ? Dans le coupé décalé, on dira que JEAN-LOUIS est un BOUCANTIER, UN FAROTEUR, UN FAISEUR DE  MALIN, UN TCHATHCEUR, UN DJAYEUR. En vérité tu n’es pas un boutiquier. JEAN-LOUIS BILLON, aujourd’hui les ivoiriens ont faim, ils vivent dans l’injustice, l’insécurité, la spoliation de leurs terres, leurs plantations, leurs maisons, leurs voitures et d’autres biens. Leurs femmes, leurs enfants, leurs parents sont violés, tués, massacrés par une bande de FRCI (Forces Réservées Pour les Crimes Impunis) analphabètes et de Dozos. La nationalité est distribuée au guichet automatique du Ministre de la Justice et de la Présidence sans carte magnétique. Que dis tu mon frère ? Tu mouilles devant la tâche. JEAN-LOUIS, tu es un théoricien. Laisse la politique aux politiciens. Contentes toi de manger ton blé et vis ta vie en cachette. Cesse de faire croire aux ivoiriens que tu peux leur apporter le bonheur. Sans conviction et sans courage (deux sentiments qui te composent) BILLON reste dans le cocon familial et tes salons douillets de la bourgeoise contemporaine. Ne viens pas nous embrouiller, nous les pauvres. Pour finir, BILLON, traduis mes sincères salutations à tes collaborateurs, à savoir Madame CAROLE TOUTOUKPO et Monsieur INNOCENT YOUTE s’ils sont encore avec toi au Ministère du Commerce.

 

FRANCK LUSSE

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LES EMPLOIS AUX EX-COMBATTANTS ET LE CHÔMAGE AUX AUTRES JEUNES IVOIRIENS

15 Mars 2013 , Rédigé par dialoguonns

 

Tout se fait sans regrets. Depuis un moment, on entend partout: « 2.000 ex-combattants à la Douane; 2.000 ex-combattants aux Eaux et Forêts; 2.000  ex-combattants comme garde pénitentiaire; 2.000 ex-combattants à la Police, à la Marine etc.… » L’avant goût nous fut donné l’année dernière, par la nomination de trois Préfets de région, ex-com.-zone, sans diplômes, ni cursus scolaire. Sachant que ces ex-combattants sont tous des jeunes ressortissants du Nord, je me demande si nos autorités ne constatent pas la frustration qui anime les autres jeunes des autres ethnies de CI, en plus diplômés. Comment, dans une république normale, peut-on recruter sur la base ethnique et officieusement religieuse ? Le seul corps armée qui échappe à un degré moindre à cette stratégie de recrutement des ex-combattants, c’est la gendarmerie. C’est un corps délite qui a besoin d’éléments instruits, sachant lire et écrire et pouvoir établir un PV. Ceux qui nous pillent, volent et violent dans nos quartiers, nos communes et villages sont déversés dans les corps d’armes pour assurer la sécurité des ivoiriens. Quel paradoxe ? Le chien ne changera jamais sa manière de s’asseoir. En réalité ils sont intégrés dans l’armée pour mettre l’arme sur nos tempes, au cas où nous décidons de ne plus soutenir OUATTARA à la prochaine élection présidentielle. Malheureusement cette stratégie est inutile. Quand un peuple n’a plus confiance en son chef, il la lui retire. En démocratie, il le lui signifie par les urnes. Là, rien ne peut arrêter le peuple. Les dictatures les plus féroces de la terre n’ont pu rien faire devant la volonté d’un peuple qui a soif de changement. FUJIMORI (PEROU), fils DUVALIER (Haïti), MOUBARAK (Egypte), BEN  ALI (Tunisie), KADAFI (Lybie), SADAM HUSSEIN (Irak), tous ont connu la colère du peuple. Dans les pays démocrates, WADE au Sénégal, en sait quelque chose. SORKOZY en France, a subi la colère des français. Quand le peuple s’exprime, il faut respecter sa volonté. Quand le peuple tousse, les Présidents dictateurs doivent trembler. Quelque soit le nombre de milices, de militaires, de corps habillés, quand le peuple vous vomit, il faut se plier. ‘’ Les khmers rouges ont beaucoup tué au Cambodge, finalement, le peuple a eu raison d’eux. Les jeunes chômeurs ivoiriens diplômés vivent dans une CI rattrapée sous la direction d’un pouvoir qui n’a pas à cœur de les rendre tous (sans distinction d’ethnie, d’opinion politique, religion et région) heureux. Les nombreux chômeurs ivoiriens sauront s’en souvenir aux élections locales d’Avril 2013 et à la présidentielle de 2015.

 

FRANCK LUSSE

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CATEGORISATION DES IVOIRIENS, SORO ‘’ DIT RIEN’’.

15 Mars 2013 , Rédigé par dialoguonns

 

Honorables lecteurs, sachez que chez nous en CI, l’expression ‘’tu dis rien’’, est utilisée dans la langue nouchi, français de rue. Un langage propre aux enfants de la rue. Elle signifie: tu racontes des histoires, tes propos n’ont pas de sens et de logique. En gros, ce que tu dis ne reflète aucune vérité et réalité. ‘’Tout flatteur vit au dépend de celui qui l‘écoute’’ dit l’adage. Nous avons été surpris de lire au détour d’une titrologie de la presse écrite ivoirienne, ‘’catégorisation des ivoiriens, SORO n’en veut plus’’. Plus loin, la phrase est complète, SORO affirme: « nous ne voulons plus d’une CI ou chacun est catalogué selon son ethnie et sa religion. » A mon avis, cette pensée doit être adressée aux membres du clan et de la région de SORO.   Aujourd’hui, la catégorisation des ivoiriens est plus réelle et accentuée que sous les régimes précédents. Quand le chef rebelle SORO GUILLAUME forme une armée composée uniquement des jeunes ressortissants du Nord et qu’en sa qualité de Président de l’Assemblée Nationale, il approuve et applique sans retenue et réaction la politique  du rattrapage, qui catégorise alors les ivoiriens ? Le rattrapage qui est l’une des conditions pour être planton au moins dans une structure en CI, à qui donc s‘adresse SORO ? La DIOUALTISATION des corps de métier et des fonctions se fait aux yeux et au su de SORO. Qu’il ne vienne pas nous endormir avec ses slogans pour mieux nous catégoriser. Quand il empêche d’autres ivoiriens d’être candidats contre lui à FERKE et au poste de Président de l’Assemblée nationale, comment appelle t on cela ? Qui a utilisé la phrase ‘’c’est parce que je suis musulman et du Nord qu’on m’empêche d’être candidat’’ ? C’est le Président ALASSANE sous BEDIE. Pourtant le candidat ALASSANE savait bien qu’il ne remplissait pas les conditions d’une candidature à l’élection présidentielle sous BEDIE. En utilisant l’ethnie et la religion pour la conquête du pouvoir, on se retrouve dans une véritable dislocation de la cohésion sociale et à l’utilisation des armes pour atteindre le palais présidentiel. Jusqu’aujourd’hui, malgré la présence de la CDVR, les ivoiriens sont de plus en plus divisés. Si SORO et OUATTARA n’étaient pas au pouvoir, pensez vous qu’ils auraient parlé de réconciliation, de paix, ‘’de catégorisation d’ivoirien je n’en veux pas ‘’ ? Cette manière hypocrite de faire croire aux ivoiriens que les gagnants sont dans de bonnes dispositions pour ramener la paix ressemble à du blagué tué. Elle n’est pas sincère. Lorsque les Imans prêchent pour un candidat dans les Mosquées, cela est normal. Dès qu’un prêtre ou Pasteur fait autant, on accable ces guides religieux de tous les péchés. Ça aussi, c’est une forme de catégorisation que SORO n‘a jamais condamnée. Les élections régionales et municipales avancent à grands pas. Les candidats d’un parti politique font faire le tour de toutes les mosquées, pour utiliser la religion comme moyen de conquête des voix des électeurs. Les Imams font imposer à leurs fidèles le vote des candidats de ce parti. Et cela sous prétexte que ces candidats sont le choix du grand patron. Lui aussi Musulman, cautionne cette pratique sans rien dire. Gare à un fidèle qui va voter un autre candidat que le choix des Imams. Ça aussi, c’est une forme de catégorisation pratique des ivoiriens. Qui fait son bonhomme de chemin en CI à visage découvert. Personne ne dénonce cela. Les autorités gouvernementales d’ailleurs apprécient. Qui ne dit rien consent. Quand on a créé une armée de BAMBARA, recruté à la Fonction Publique selon l’ethnie et la région, nommé selon les mêmes critères à des emplois supérieurs, on ne vient pas nous dire: « nous ne voulons plus d’une CI ou chacun est catégorisé selon son ethnie et sa religion ». En fait, SORO a fini de ‘’caser’’ ses soldats, ses frères et sœurs dans tous les secteurs d’activités, ils sont maintenant bien assis. C’est le moment idéal qu’il trouve de moraliser les ivoiriens. Pourquoi n’a-t-il pas réagi ainsi, dès la prise de pouvoir par OUATTARA, au regard de l’application stricto-sensu du principe de rattrapage tant adoré par toutes les composantes du nouveau pouvoir ? Peuple de CI, SORO ‘’dit rien’’   

FRANCK LUSSE

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TOP 11 DES PERSONNES PHYSIQUES ET MORALES LES PLUS IMPOPULAIRES DE CI

7 Mars 2013 , Rédigé par dialoguonns

 

 

RANG

NOM ET PRENOMS

ACTES POSES

1er

OUEDRAOGO REMI dit AMADE OUEREMI

‘’ le Montre du Mont Péko’’ ou ‘’ le Satan de l’Ouest’’

De nationalité Burkinabée, chef d’une milice Burkinabée de 300 combattants basée dans le Mont Péko (DUEKOUE), un parc forestier de 36 000 hectares appartenant à l’Etat. Il a spolié 1 000 hectares. Auteur de massacre de bébés, d’enfants, de femmes, femmes enceintes, hommes (vieux et jeunes). Auteur du massacre de carrefour DUEKOUE  et des villages environnants pendant la crise postélectorale (800 morts). Soupçonné de crime de guerre, crime contre l’humanité, il est dans le viseur de la CPI. Armé par les Forces Novelles de SORO GUILLAUME, c’est un spoliateur des terres et des plantations des autochtones GUERE dans la région. Auteur de vols, viols, pillages et massacres de populations civiles. Mais bénéficie de la prime à l’impunité offerte par le Président OUATTARA à tous les criminels de son camp.

2ème

FRCI (Forces Réservées pour les Crimes Impunis)- les Dozos

Deux forces dangereuses composées des éléments des Forces Nouvelles, des combattants supplétifs, volontaires, de nationalité ivoirienne, Burkinabée, malienne, guinéenne, nigérienne etc. Analphabète à 90%. Parmi eux, certains sont promus à des hauts postes de responsabilité dans l’Administration pour récompense des crimes commis depuis 2002. Ils parlent tous une langue le DIOULA (langue des ressortissants du Nord de la CI. Une armée de BAMBARA. Ces forces sont accusées de crime de guerre, crime contre l’humanité. Leurs actes criminels sont tous dénoncés et tout le temps par les ONG de défense de droit de l’homme (Amnesty international, HUMAN WATCH  RIGHT, MIDH, Lidho). Auteurs de la spoliation par les armes ou tout autre moyen des biens des autochtones ou populations des lieux où ils sont installés. Maisons, voitures et plantations. Auteurs de vols, viols, pillages et crimes sans inquiétude. Cependant, elles bénéficient des immunités civile et pénale offertes par le Président OUATTARA. Aucun d’eux n’est poursuivi jusqu’à lors.

3ème

Le Président ALASANE OUATTARA

Auteur de nombreuses promesses non tenues. ‘’ ne donne pas ta voix à la pauvreté.’’ 70% des ivoiriens ne peuvent pas se procurer plus d’un repas par jour. Les produits de première nécessité sont chers, la vie est invivable. La pauvreté a atteint 75% des ivoiriens. ‘’ ne donne pas ta voix au chômage. 4.000.0000 de jeunes ivoiriens diplômés sont sans emplois, les emplois sont réservés aux ex-combattants des Forces Nouvelles, combattants supplétifs, volontaires. Il est soupçonné d’être le parrain du Coup d’Etat de 99 et de la rébellion de 2002. Car tous les auteurs du coup d’Etat et de la rébellion sont promus à de hauts postes dans l’Administration Publique, privée et dans l’armée. Concernant les criminels pro-OUATTARA, ils bénéficient d’une protection de la part du président. Citer dans des massacres, aucun criminel n’est traduit ou déféré devant les Tribunaux. Ils sont en liberté. Auteur de l’ »opération de naturalisation des étrangers, particulièrement les ressortissants burkinabés, appelés Opération N’DOGONI CACHIA. Auteur du surendettement de la CI. Auteur du bas niveau intellectuel à la police, Gendarmerie, Douane, Eaux et Forêts et garde pénitentiaire. Car on assiste à un recrutement sans concours des ex-combattants, tous analphabètes, pour intégrer les Forces citées plus hauts. 1er Président ivoirien à battre le record de voyage dans le monde. Il est à son 59ème voyage depuis sa prise de pouvoir  en Avril 2011. Il a encaissé en dons, prêts et réduction de dette pour le compte de la CI 11.000.000.000.000 d’Avril 2011 en Novembre 2012. Cependant, la CI ploie sous le poids de la pauvreté. Père d’une nouvelle forme de catégorisation des ivoiriens: le rattrapage. Seuls les DIOULA sont promus à tous les postes dans tous les secteurs de la société. Si vous n’êtes pas du Nord, vous n’avez aucune promotion, ni marché. Toutes les régions qui ne sont pas pro-OUATTARA sont abandonnées à leur sort. Un chef d’Etat dictateur, xénophobe et responsable de la division profonde entre les peuples du Nord et le reste des 59 ethnies de CI. Ne veut pas d’une CDRV autonome. Distributeur de la prime à l’impunité aux criminels.

4ème

SORO KIGBAFORI GUILLAUME

Chef rebelle depuis 2002, patron des Forces Nouvelles. Soupçonné de crime de guerre et crime contre l’humanité par l’effet du principe ‘’en responsabilité de commandement’’. Les Forces Nouvelles et SORO sont responsables du massacre des 12 femmes danseuses d’ADJANOU, de plus de 60 gendarmes refugiés au camp à BOUAKE. Sans compter les gendarmes en fuite dans les régions CNO (Centre Ouest Nord) assassinés sur dénonciation des collaborateurs civils des Forces Novelles. Mr SOOR bénéficie des immunités pénale et civile octroyées à lui par le régime OUATTARA. Il n’est pas inquiété. Cependant, depuis le 04 mars 2013, Monsieur SORO est l’objet d’une action judiciaire à PARIS, engagée  sur plainte de MICHEL GBAGBO. Pour séquestration et atteinte à l’intégrité physique et morale du plaignant.  Merci pour cette action au conseil de MICHEL GBAGBO. C’est une victoire qu’un Juge soit désigné pour le suivi de la procédure. Il y ‘a un Dieu pour tous

5ème

Caporal LAMINE ROMBA alias Commando

De nationalité Burkinabée, il est caporal et fait partie de l’effectif des combattants volontaires ou supplétifs de CI. Il est installé dans le ranch de SIPILOU appartenant à l’Etat dans la région de BIANKOUMA, à l’Ouest de la CI et dans la forêt classée de cette localité. Il est propriétaire de 130 hectares de forêt arrachés par les armes à un chef de village. Lui et ses compatriotes burkinabés font la guerre aux autochtones du village de YALO (S/P de SIPILOU). Un autre AMADE OUEREMI qui sème la terreur dans cette région.  Il bénéficie aussi de la prime à l’impunité de OUATTARA.

6ème

Cdts CHERIF OUSMANE, ZACHARIA, LOSSENI

Tous impliqués dans les massacres d’Abidjan (YOPOUGON, ADJAME) et l’Ouest de la CI. Cités par les Organisations des Défenses des Droits de l’Homme. Cependant, ils sont en liberté. Ils bénéficient du Droit à l’Impunité distribué par Mr OUATTARA.

7ème

ALAIN LOBOGNON (Ministre des Sports)

Auteur d’injures à l’endroit des fonctionnaires et jeunes chômeurs de CI: « il faut être cancre pour aller à la Fonction Publique.» Pourtant, dans l’histoire de la CI, son premier poste fut chez les Forces Nouvelles à BOUAKE et Ministre de OUATTARA. Il n’a jamais travaillé quelque part sous les régimes précédents.

8ème

SORO ALPHONSE

‘’Dépité’’ de KARAKORO

Auteur d’injures, de division par la plus part de ses propos. Propos d’ailleurs contraires à toute parole de réconciliation. Xénophobe et opposé à une opposition parlementaire. Adepte d’une dictature Dioulatisée. Anti-CDVR. Adepte de la pensée unique, parti unique. Haine viscérale contre les auteurs des critiques du régime OUATTARA. Dépité par découpage électoral sur mesure. Adepte d’une hégémonie des DIOULA sur les 59 ethnies de CI.

9ème

Le premier DANIEL KABLAN DUNCAN

Coresponsable d’une naturalisation à tout vent des étrangers en CI. Cautionne l’opération de naturalisation appelée N’DOGONI CACHIA’’ des immigrés burkinabé en CI. Une opération qui répond aux objectifs électoraux de 2015. Le premier Ministre AHOUSSOU JEANNOT fut plus vigilent que DANIEL KABLAN DUNKUN sur ce point. Il  sera responsable des conflits entre ivoiriens étrangers dans 10, 15, 20 ans. Je le prédis.

10ème

GNENEMA COULIBALY,  Ministre de la Justice

Coauteur de la stratégie de naturalisation des immigrés burkinabés, sans référence au peuple de Ci, ni suivi de la procédure habituelle. Responsable d’un futur conflit identitaire en CI dans 10, 15, 20 ans par leur acte répondant à leurs intérêts du moment.

11ème

GNAMIEN KONAN, Ministre de la Fonction Publique

Auteur de la souffrance des fonctionnaires. Auteur de la pauvreté des travailleurs de CI. Dictateur,  vagabond politique pour cause de départ de l’UPCI (son parti originel) au RDR sans se soucier de ses partisans. Un homme politique qui manque de conviction.

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ELECTION: TRANSPARENCE, CALME ET NON- VIOLENCE ENNEMIS DU RDR

3 Mars 2013 , Rédigé par dialoguonns

Les élections partielles de ce mois de 2013 relatives aux législatives ont donné des résultats auxquels s’attendaient moins les Républicains. Sur 06 postes à pouvoir aucun n’a été acquis par le RDR, parti au pouvoir. Quelle belle surprise ? En vérité le parti du président ne pèse pas comme on veut nous fait croire. Le RDR est un phénomène urbain. Un parti qui ne se retrouve pas les villages et hameaux des autres régions du pays à part le Nord. Même le Nord, c’est discutable. Car les autres partis installés au Nord subissent les pressions, les menaces et autres formes d’intimidations des extrémistes de ce parti. Qui sont général tous Nordistes. Même les guides religieux sont emmenés pendant leur prêche, à faire un saut dans la politique pour intimider leurs fidèles des autres formations. Cela s’est vérifié pendant les élections législatives passées de 2011. Le candidat du PDCI a FERKE s’est désisté au nom d’une raison que les militants, et les  responsables du parti ignorent. Simplement pour céder sa place à Monsieur SORO GUILLAUME. Qui lui aussi parle de démocratie dans sa région natale. Pourtant, il a tout fait pour ne pas avoir d’adversaire. Même au poste de Président de l’Assemblée Nationale, on s’est encore arrangé pour qu’il soit le seul candidat. Il fut nommé finalement mais pas élu. Un politique qui évite le suffrage des électeurs et se prend pour un donneur de leçon de démocratie. Mon œil ! Revenons à nos moutons. Un Imam de LAKOTA est membre des instances locales du RDR. Qui dit mieux ? Ce sont deux exemples qui montrent que les républicains s’en foutent des règles de démocratie. Pour eux, par tout moyen, ils doivent atteindre leurs objectifs. Les élections législatives de 2011 ont donné des victoires écrasantes du RDR dans de nombreuses circonscriptions. Malgré les requêtes en annulation, Monsieur ISSOUF BAKAYOKO, la CEI et le Conseil Constitutionnel ont fermé les yeux pour octroyer une majorité écrasante au parlement, au parti au pouvoir. TIA KONE vient de faire son mea-culpa. Que nous réserve WODIE et son équipe en 2015 ? Peut-être qu’ils déclareront OUATTARA vainqueur des élections, sans qu’il y ait vote. Tout est possible dans ce pays. Il suffit que le RDR le veuille par tout moyen. Parlant des partielles, deux circonscriptions m’ont marqué.  FACOBLY et BONON. Malgré le tripatouillage, la violence, les intimidations, trois fois de suite les candidats ont battu ceux du RDR. Sans la médiatisation des événements survenus dans ces deux localités et la volonté des deux candidats du PDCI, la CEI n’aurait jamais annulé les deux tours. Au troisième tour, toutes les conditions ont été réunies pur avoir un scrutin sans contestation. La transparence a prévalu, la campagne et le vote se sont déroulées dans le calme. Aucun FRCI ni DOZOS et loubard n’ont été convoyés d’Abidjan par les adversaires pour perturber le scrutin. La sécurité était de mise. Au finish, le RDR a perdu à BONON, à FACOBLY et à KOUMASSI. Des lieux ou en 2011, les élections se sont déroulées dans la violence. Leçons à retenir:

-          Le RDR n’aime pas les élections qui se déroulent sans tripatouillage de listings (double listing avec des électeurs triés sur le volet)

-          Le RDR n’adore pas les élections qui se passent sans violence.

-          Le RDR n’aime pas les scrutins qui se déroulent dans la paix. Une fois au moins on a eu des partielles sans accrochage. Le RDR a été balayé. J’espère que Monsieur YOUSSOUF BAKAYOKO et la CEI pourront rééditer les conditions des partielles aux élections municipales et régionales couplées. Nous croisons les doigts. Dans le cas contraire, on aurait encore des bagarres, des contestations et à la fin le RDR va gagner par tout moyen. C’est à dire par la force et d’autres mécanismes.       

FRACNK LUSSE

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PROCES-DE GBAGBO, LA SCENE DU KENYA

3 Mars 2013 , Rédigé par dialoguonns

 

Le parquet de la CPI dirigée par la procureure, Madame BENSOUDA, dans sa stratégie de prouver la culpabilité de LAURENT GBAGBO, a produit une preuve qui vient d’être fausse. Il s’agit de la scène où nous voyons une personne qui brule sous l’effet de hautes flammes. L’accusation reconnait publiquement que cette scène ne s’est pas déroulée en CI, mais au KENYA. Quelle leçon faut-il tirer de ce montage ? En vérité cet argument de Madame la Procureure remet en cause certains faits attribués au régime précédent. Il s’agit du charnier de YOPOUGON et des morts d’ABOBO. Le charnier de YOPOUGON en son temps, d’autres sons de cloche avaient avancé que ces corps ont été ramassés pêle-mêle dans les rues d’Abidjan, pour être entassés derrière la Maca. Cet amas de corps photographié a fait le tour du monde et présenté comme un charnier par les opposants au régime des refondateurs. Y’avait-il vraiment un charnier à YOPOUGON ? Au  regard de la scène du KENYA qui a été produite comme des faits attribués aux jeunes patriotes, d’où est sorti l’article 125, nous pouvons douter que le charnier de YOPOUGON n’en est pas un. Tout est possible avec l’informatique. Nous venons de découvrir qu’on a menti au peuple de CI avec une image fausse à l’origine. A quoi a servi ce mensonge sachant qu’un jour on sera découvert ? Seuls les experts en montage de la scène du KENYA peuvent répondre à cette question. Les politiciens ivoiriens sont capables de tout pour noyer leur propre frère. Nous nous sommes laissé abuser par une machine de communication qui voulait à tout prix salir des personnes. La vérité finit par rattraper le mensonge. En deuxième position, la mort des 07 femmes d’ABOBO. Sans douter du décès de ces femmes, la scène du KENYA nous emmène encore à nous poser des questions. Car en ce moment là, certaines voix se sont élevées pour dire que le sang de ces femmes n’est que du BISSAP. Aujourd’hui, la défense affirme que c’est du sang de mouton. Que peut-on dire ? Si on nous a fait croire que la scène du KENYA découle des conséquences de l’application de l’article 125, alors la mort des 07 femmes d’ABOBO peut être remise en cause. Leur sang peut être qualifié de jus de fruit ou de liquide provenant d’un animal. Qui croire finalement ? Une chose est certaine chaque camp mène sa stratégie pour mentir, abuser des ivoiriens. Aujourd’hui au moins, un mensonge vient d’être découvert. On dit chez nous, dans un panier de tomates, quand une est pourrie, l’on considère que le contenu du panier est pourri. Un seul mensonge vient battre en brèche toutes les images qu’on nous présente comme preuve de la culpabilité de tel ou tel camp. Je comprends les raisons pour lesquelles BANNY a dit: « j’ai honte ». 

 

FRANCK LUSSE

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POURQUOI OUATTARA N’A PAS PITIE DES IVOIRIENS

3 Mars 2013 , Rédigé par dialoguonns

 

Les ivoiriens ont faim. La vie est chère. L’eau, l’électricité, le carburant et le gaz  ne sont plus à la portée de la bourse d’un ivoirien moyen. Le chômage bat son plein. Les licenciements sont monnaies courantes. La situation est telle que personne ne tient débout. Ajouter à cela, les assassinats, les tueries, les enlèvements effectués par les FRCI ou DOZOS sur les pauvres populations ivoiriennes. Tout cela n’émeut pas OUATTAR et sa cour royale. Beaucoup d’ivoiriens disent: « ce monsieur est sans pitié pour nous. Il n’a pas de cœur » lui il répond: « l’argent ne circule pas mais ça travaille ». Ce sont nos compatriotes qui ne connaissent pas le fond du problème. Vous savez, pour avoir du cœur et être attentif au besoin d’un peuple, il faut avoir vécu longtemps dans cette population. Et avoir des amis d’enfance, des camarades d’école primaire, de Lycée et d’Université, des tontons de quartier et des connaissances qui vous ont vu naître. En fait, son Excellence ALASSANE OUATTARA n’a pas vécu son enfance dans ce peuple. Il connait moins de gens. Il n’a pas d’amis d’école primaire, de Lycée et d’Université en CI. Dites moi, qui est son tonton du quartier ou sa tantie en CI ? Il n’a pas de ‘’frères de sang’’ (ami inséparable depuis l’enfance) disséminés sur tout le territoire ivoirien. Les seules amitiés qu’il avait en CI avant 90 sont dans le cadre professionnel. A part CHARLES KONAN BANNY, KABLAN DUNCAN, AHOUA N’DOLI THEOPHILE etc. qui sont tous ces collègues de la BECEAO, aucun ivoirien ne peut affirmer qu’il a fréquenté avec OUATTARA en CI. Par conséquent, du Nord, au centre, en passant par l’Est, l’Ouest et le Sud, OUATRA connait moins de personnes qui sont ses vrais amis d’enfance. Si vous n’avez pas ces genres de relations dans un pays, vous vous moquez des souffrances de ces habitants. Qu’ils crèvent, meurent de faim, maltraités par les FRCI ou les Dozos, spoliés de leurs biens (terre, maison, voiture) vous ne ressentez rien. La preuve, le monstre de DUEKOUE ou le Satan de l’Ouest, AMADE OUEREMI tue bébé, enfants, femmes, hommes, vole, pille le patrimoine mondial du Mont Péko, Monsieur OUATTARA ne ressent rien pour les habitants de l’Ouest. Il n’a pas d’ami d’enfance GEURE, WOBE ou YACOUBA pour comprendre ou sentir les souffrances des habitants de cette partie de la CI. Imaginez vous par la magie, vous devenez président de Burkina-Faso, un pays ou n’avez pas de relations d’enfance. Quelque soit la souffrance des habitants, vous ne ressentirez rien, il n’y a aucun lien entre ce peuple et vous. Il est facile d’appliquer à ce peuple des mesures dures et difficiles. Aujourd’hui, son Excellence ALLASSANE OUATRARA n’a de cœur que pour les habitants de sa région. L’amour d’un peuple ne se décrète pas. FELIX HOUPHOUET BOIGNY disait: « le capitaine hors de l’eau ne peut vivre. Moi aussi je sui un capitaine. Hors de mon peuple, je  ne suis rien. » OUATTARA hors du peuple est quelqu’un. Car les FRCI, les DOZOS, les chars, les Forces Nouvelles constituent son eau.

 

FRANCK LUSSE

 

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NATURALISATION ‘’N’DOGONI CACHIA’’

3 Mars 2013 , Rédigé par dialoguonns

 

Depuis 93, la nationalité en CI est une grenade qui se dégoupille selon le titulaire du pouvoir exécutif. BEDIE a n’en  fait les frais. GUEI a connu ses conséquences. GBAGBO s’est englouti dans ce sable mouvant. OUATTARA veut aussi tenter son expérience. Nul n’a échappé aux pièges de la nationalité. Personne n’en sortira sans égratignures. Cela dépend des orientations du chef de l’exécutif dans ce domaine. Depuis un moment, les vieux démons sont de retour. Car OUATTARA a décidé de sortir de son tiroir le problème conflictuel qui mine ce pays et de le résoudre selon sa propre vision. Sans consulter le peuple. Si la solution qu’il préconise rencontre l’avis favorable des Députés, il en sort vainqueur. En vérité, si nous savions que la naturalisation était un chantier important du champion des Républicains, nous n’aurions pas voté en sa faveur. Pour nos lecteurs, qu’ils sachent que le président de la république a décidé de naturaliser 06 catégories de personne en CI:

-          Les personnes ayant égaré leurs pièces et n’ayant aucune pièces des parents décédés.

-          Les personnes dont la nationalité est remise en cause sur la liste grise

-          Les personnes dont la nationalité est remise en cause lors du contentieux judicaire

-          Les enfants nés des colons et des ivoiriennes (métis)

-          Les immigrés vivant en CI avant 1960, déplacés par les colonisateurs pour travailler dans les plantations. Ils sont estimés à 300.000 et leurs descendants 200.000

-          Les immigrés venus d’eux mêmes en CI, installés avant l’indépendance. Qui auraient pu bénéficier de la loi du droit de sol en vigueur jusqu’à 1972. Mais faute de le savoir, eux et leurs descendants nés en 1972 n’ont pas pu en bénéficier

-          1800 dossiers de naturalisations sont sur la table de la présidence

Concernant le premier cas, voici ce que dit le Ministre GNENEMA COULIBALY: « par exemple, vous naissez sur un territoire qu’on peut appeler la CI. Vos parents oublient de vous déclarer. Vous devenez majeurs. Vous ne pouvez pas prouver que vous êtes ivoiriens. Parce qu’il faut que vous pussiez le prouver. A supposer que vos parents aient perdu leurs pièces de leurs vivants. Qu’ils soient morts au moment ou vous souhaitez établir votre lien juridique, vous êtes confrontés à un problème réel. Ca peut arriver » Le Ministre de la Justice de CI, défenseur acharné d’une naturalisation ‘’N’DOGONI CACHIA’’ nous présente un cas pratique qu’il considère comme un argument de poids pour réaliser son opération. Il doit savoir que son exemple ne concerne pas les ivoiriens nés en CI de père et/ou de mère ivoirienne. Un ivoirien qui n’a aucune pièce connait la procédure pour se faire établir un acte de naissance ou u jugement supplétif. Même dans le cas des parents décédés, les oncles, les tantes, les cousins peuvent témoigner à la justice du lien juridique entre l’enfant et ses parents. Le Ministre termine par ‘’ça peut arriver’’. Ce qui signifie qu’i est lui-même conscient que son exemple n’est pas sûr. Seul un étranger peut se retrouver dans une situation pareille et ne pas pouvoir justifier sa nationalité. Dans le deuxième cas, les personnes qui sont sur la liste grise doivent obligatoirement prouver leur nationalité, s’ils sont nés d’un ou des deux parents ivoiriens. Ces personnes concernées doivent être écartées de la liste électorale s’ils n’arrivent pas à prouver s’ils sont réellement ivoiriens. Le troisième cas relatif aux personnes dont la nationalité a été remise en cause lors du contentieux judiciaire. Je crois que ceux-là   doivent comprendre que la justice a tranché au regard des documents qu’ils ont déposés. Fort de cela, ils ne peuvent pas se prévaloir de la nationalité ivoirienne. Si le Juge n’a pas été capable de déceler qu’ils sont ivoiriens, alors ils ne le sont pas. Concernant les métis, aucun né d’un père colon et d’une mère ivoirienne ne peut dire qu’il rencontre des problèmes de nationalité dans ce pays. Car est ivoirien celui, qui a son père ou son mère ivoirienne. Donc ils ne peuvent pas être concernés par la naturalisation ‘’N’DOGONI CACHIA’’. Le cinquième cas concerne les immigrés vivant en CI avant 1960 et qui ont été déplacés par les colonisateurs. On nous dit qu’ils sont au moins 300.000 et leurs descendants 200.000. Sur quelle base le HCR a pu mener ses investigations pour nous produire ses chiffres ? Je doute fort que ces chiffres n’aient pas été extrapolés. Qu’est ce qui prouve que parmi ces 300.000 ? il n’y a pas d’immigrés venus après 1960. Nous savons que dans ce genre d’enquête, il y a des noms de parents vieux comme jeunes qu’on ajoute pour gonfler les chiffres. Alors, que le HCR nous démontre le contraire. J’ai un ami de père et de mère Burkinabé qui fait partie de cette catégorie d’immigrés. Il nous a confirmé que ce ne sont pas tous ceux que le HCR a enregistré qui sont des fils d’immigrés d’avant 60. Les véritables membres de la famille se connaissent. Il faut éviter de créer d’autres problèmes à ce pays. Pour l’instant, seul gonfler les listes électorales pour nos dirigeants compte. Sinon FELIX HOUPHOUET BOIGNY a réglé le cas de ces immigrés. Le sixième cas concerne les immigrés venus d’eux-mêmes et installés avant 1960 qui auraient pu bénéficier du droit de sol. Pourquoi accorder la nationalité à cette catégorie d’étrangers ? S’ils ne savaient que la loi existait, ils n’ont qu’à s’en prendre à eux-mêmes. Nul n’est sensé ignorer la loi. Personne ne peut se prévaloir de sa propre turpitude pour rejeter la faute sur une tierce personne. Si monsieur OUATTARA devait être Président en 2050. Ces immigrés devaient attendre jusqu’à Cette date pour se voir offrir une loi d’exception pour les naturaliser. Ce qui est vraiment inadmissible. Les descendants de ces immigrés réclameront aussi une loi d’exception pour les naturaliser. Si chaque président doit voter des lois d’exception pour régir les problèmes de sa communauté, alors nous ne sommes plus dans une république. Pourtant, on nous dit que la loi est impersonnelle. Nous savions que l’opération de naturalisation ‘’N’DOGONI CACHIA’’ est faite pour les combattants volontaires, supplétifs, nombreux dans les FRCI et de nationalité Burkinabée, malienne, guinéenne, nigérienne etc.… tout cela pour préparer les élections présidentielles de 2015. D’ailleurs, il faut savoir que notre cher président est d’origine Burkinabé par son père et ivoirienne par sa mère. Le père de la nation nous a dit que la mère de notre actuel cher président est ressortissante de GBELEBAN,  S/P d’ODIENNE. Son géniteur repose dans sa dernière demeure a SINDOU, S/P de BANFORA (Burkina-Faso). Notre cher président a fait ses études secondaires dans un Lycée de OUAGADOUGOU et a bénéficié d’une bourse pour aller étudier aux Etats unis. Il a passé toue sa jeunesse dans ce pays. Sa première carte d’identité ivoirienne de couleur jaune (l’ancien format sous HOUPHOUET BOIGNY) a été signée par le Commissaire KILI FIACRE, patron du premier arrondissement au Plateau en 90. Monsieur RAPAHEL LAKPE, journaliste alors au nouvel horizon, se souviendra toujours de sa question posée, lors de l’émission ‘’Les cent jours de OUATTARA à la Primature’’, sur la nationalité du Premier Ministre. Monsieur RAPHAEL LAKPE est aujourd’hui Directeur du CNP, militant du RDR. Aux immigrés qu’ils sachent que leurs cas seront bientôt réglés, par des lois d’exception pour le bonheur de ceux qui demandent leur service.

FRANCK LUSSE

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