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dialoguonns

GOUVERNEMENT IVOIRIEN ET UNCHR, FAUX Y’A PAS D’APATRIDE EN CI

31 Janvier 2013 , Rédigé par dialoguonns

 

 

Le Président OUATTARA et son Ministre de la Justice ont décidé de contourner les règles ivoiriennes, pour réussir à naturaliser le million d’étrangers dont ils ont fait de leur cas, un des piliers des projets de ‘’vivre ensemble’’. Voulant coûte que coûte créer de nouveaux ivoiriens qui sont forcement tous originaires d’un pays, l’actuel pouvoir engage le Gouvernement dans « un blanchiment de personnes physiques» sous le couvert de l’UNCHR. Pour donner une caution légale à l’acte. Et cela par une lutte contre l’apatridie. Non Messieurs, ne prenez pas les ivoiriens pour des enfants. Voici ce que dit la convention de new york du 28 septembre de 1954 relativement à l’apatride: « est apatride, toute personne qu’aucun état ne considère comme son ressortissant par application de sa législation.» Je voudrais que le Gouvernement de CI me dise qui est apatride dans ce pays ? Et jusqu’à ce qu‘on nous révèle qu’il y a 450 000 personnes dans ce cas. Elles représentent 50% de l’ensemble de ce monde descendu de par leurs grands parents de la planète mars. Faux. La CI n’en compte pas. En général, ces ‘’apatrides’’ dont parle le Gouvernement actuel sont des personnes ressortissantes des pays limitrophes de la CI, établies de par leurs parents dans ce pays depuis longtemps et qui ont refusé à un moment donné la nationalité ivoirienne. Ce sont ceux-là qui aujourd’hui n’ont plus la nationalité de leur pays par leur propre faute qui doivent être reversées dans la population ivoirienne de force et considérées comme apatrides. Cela sous le regard des Ministres et responsables des autres partis politiques. En l’occurrence, sous les yeux de son Excellence DANIEL KABLAN DUNCAN. Veut-on nous dire que FELIX HOUPHOUET BOIGNY, HENRI KONAN BEDIE, Général GUEI et LAURENT GBAGBO ont fait semblant d’ignorer de fait, ces cas d’apatrides que son Excellence ALASSANE OUATTARA et son Ministre de la Justice veulent régulariser obligatoirement. Au lieu de s’atteler à lutter contre la pauvreté des ivoiriens, c’est le combat contre l’apatridie qui intéresse le Gouvernement. Dire qu’ils veulent réduire ce phénomène en 2013 de 75 à 80%, je crois que certaines informations mises sous le couvert des rumeurs deviennent fondées. La CI est peuplée par 60 ethnies. Ces personnes dont on qualifie d’apatride, n’ont-elles pas d’aïeux, de grands parents ? D’où viennent ces personnes ? Elles sont au moins ressortissantes d’un pays du monde. Alors, pourquoi nous faire croire qu’elles viennent de nulle part ? Il faut arrêter de naturaliser pour des fins électorales. La CI a assez de problèmes fonciers, d’occupations illégales de maisons et de plantations pour encore voir sa population augmenter sous un seul mandat. Et cela sans passer par une consultation du peuple sur cette question. Pourquoi ne pas faire alors, un appel à candidature dans le cadre d’une naturalisation tout azimut comme si nous sommes demandeurs d’une forte immigration à l’image du Canada ? Au lieu de naturaliser à petites doses en voilant la chose, pourquoi ne pas lancer un appel d’offres international de naturalisation ? Qu’est ce que nos gouvernements veulent de ce pays ? La mettre à genoux sous tutelle étrangère et tout est réglé. Je ne cesse de répéter que le problème de nationalité en CI est une question sensible. Il faut le gérer de manière à obtenir l’aval du peuple, pour éviter demain d’autres  situations conflictuelles. Un pays n’est pas crée pour un ou deux mandats présidentiels. Il faut éviter des problèmes aux enfants ivoiriens nés ou à naître. Nul ne sait aujourd’hui la coloration du temps de demain. Tout acte qui tente à poster la nationalité ivoirienne au premier quidam sous le couvert de lutte contre l’apatridie, alourdit le poids des problèmes ivoiriens. En CI les apatrides n’existent. C’est un bétail électoral qu’on veut fabriquer pour 2015. Il faut être vigilant.

 

FRANCK LUSSE

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SEULS LES CANCRES ET LES PARESSEUX PREFERENT LES ARMES POUR SE FAIRE UNE PLACE AU SOLEIL.

31 Janvier 2013 , Rédigé par dialoguonns

 

 

« Seuls les cancres visent la Fonction Publique » a dit le Ministre ALAIN LOBOGNON, lors de sa visite dans une grande école de COCODY, nous rapporte le bihebdomadaire ‘’l’éléphant déchainé’’ du 29 janvier 2013. Ce qui signifie pour le Ministre ALAIN LOBOGNON que les fonctionnaires, les chômeurs diplômés sont des cancres. Cela ne m’étonne guère. Je vais m’excuser auprès de mes lecteurs pour ce papier qui ne répondra pas  aux normes professionnelles. A propos exceptionnels, réponses exceptionnelles. Je vous ai toujours avertis que dans ce pays, il y a des personnalités qui n’entendent seulement que le langage de la violence. Car eux-mêmes, adeptes de la force et de la violence. En général, ce sont des personnes issues des Forces Novelles sous le commandement de leur chef Monsieur SORO KIGBAFORI GUILLAUME. Comment comprendre qu’un Ministre de la République peut se donner le luxe d’injurier une grande partie de la population ivoirienne ? C’est peut être de nombreux ivoiriens que cela surprend. On nous a toujours interpellé sur ces cas de dérapages verbaux du Ministre des Sports, Monsieur ALAIN LOBOGNON, depuis longtemps. Cependant, nous n’avons jamais voulu réagir quand cela se passait dans un cadre très restreint et ne concernait que les adversaires internes (Forces Nouvelles) ou politiques de sieur ALAIN LOBOGNON. Comme il vient de mettre le pied dans le plat, alors  nous allons l’aider à y rester. Monsieur ALAIN LOBOGNON est comme le ‘’Dépité’’ ALPHONSE SORO. Seul un type de langage leur sied. C’est ce qu’ils comprennent mieux au regard de leur origine politique. Ils ne savent pas ce que c’est que la paix et le dialogue. Leur arme préférée la dictature, les armes de guerre, La force, la violence physique comme verbale. Aux élections législatives, Monsieur ALAIN LOBOGNON sait les moyens qu’il a utilisés pour gagner dans le département de FRESCO; à savoir GBAGBAM, GOBOM, DAHIRI, ZEGBAN, OKROMOUDOU et autres villages de cette localité. Il a utilisé sa voie préférée: la menace, le chantage et l’intimidation sur les pauvres populations paysannes de cette contrée pour décourager les militants du PDCI électeurs d’AYERI SIMONE. Malgré toutes les plaintes et complaintes, rien n’y fit il passa haut les mains. C’est ainsi ‘’quand du danses avec un aveugle, piétine le de temps en temps afin qu’il sache que tu es là’’ dit l’adage. En effet, rien ne nous surprend. Mais la question que tout monde se pose est: d’où sort ALAIN LOBOGNON pour traiter les fonctionnaires de cancres ? Lui qui n’a jamais occupé une fonction en CI avant l’éclatement de la rébellion. Que s’est-il passé dans la tête de ce Ministre pour déverser son venin sur les ivoiriens ? Le Ministre n’a pas tort. Si nous avons été maltraités, assassinés par le MPCI à BOUAKE et spoliés, par les FRCI et les DOZOS à Abidjan, il ne reste qu’à nous traiter de bon à rien dans ce pays. Que pouvons-nous faire ? Rien. Car c’est eux qui détiennent les armes et le pouvoir dans ce pays. Néanmoins nous avons nos bouches pour répondre. Nous savons que sous HOUPHOUET pour être Ministre, il ne suffit pas d’être titulaire d’une licence ou d’une maîtrise. Il faut avoir un background qui va au delà du Doctorat 3ème cycle avec une expérience professionnelle avérée. Aujourd’hui, certains Ministres sur nos petits écrans nous rappellent beaucoup de choses. On se croirait au temps des JHON POLOLO, AKE RAYMOND, BONNY du groupe FAREM et GUY VINCENT KODJANE du même groupe, aujourd’hui converti et repenti, homme de Dieu, prêchant la bonne parole dans la fonction de BISHOP. Il y a des personnalités qui ne peuvent rien apporter à ce pays  sauf des ennuis et la guerre. Et ceux là s’érigent en censeurs et donneurs de leçon. La CI est à l’envers. Ce sont les criminels qui traitent les personnes honnêtes au service de la CI, de cancres. Ce pays doit revenir à la normale où les Ministres qui étaient des personnes irréprochables, propres, des références à qui on voulait ressembler. De nos jours, aucun jeune de CI ne veut ressembler à un Ministre issu de la rébellion. Il préfère être cancre et pauvre au lieu d’être un Ministre des Forces Nouvelles aux mains entachées de sang, sans diplômes et riches. La vie est un choix.                      

                                

FRANCK LUSSE

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TOP 11 DES PERSONNALITES LES PLUS IMPOPULAIRES DE CI (MOIS JANVIER 2013)

31 Janvier 2013 , Rédigé par dialoguonns

 

 

NOM ET PRENOMS

ACTES POSES

1

OUEDRAOGO REMI dit AMADE OUEREMI

Chef d’une milice Burkinabée installée à l’Ouest de la CI (le Mont Péko-Forêt classée appartenant à l’Etat)- soupçonné de crime de guerre, crime contre l’humanité (les tueries de l’Ouest) – Spoliateur de terres et de plantations des autochtones. Refus de quitter le Mont-Péko sinon de respecter la décision des autorités gouvernementales. Bénéficie de la prime à l’impunité offerte par OUATTARA.

2

FRCI (Forces Républicaine de CI-Combattants volontaires, supplétifs) composés de jeunes de nationalité Burkinabé, Malienne, Guinéenne, Nigérienne et ivoirienne

Auteurs de viols, vols, pillages, crimes, occupations illégales des terres, des plantations. Responsables de braquages, de rackets, d’abus de pouvoir par les armes. Bénéficie de la prime à l’impunité offerte par OUATTARA.    

3

Les DOZOS (chasseurs traditionnels venus di Nord de la CI) équivalent  des kamajors en sierra-Leone.

Auteurs de nombreux crimes sur toute l’étendue du territoire. Exercice illégal de métier (souvent policiers, gendarmes, Douanier, Eaux et Forêts) Spoliateurs des terres appartenant à autrui. Occupation illégale des terres et des forêts. Bénéficie de la prime à l’impunité offerte par OUATTARA.   

4

SEKA SEKA ENSELME (ex-aide de camp de Madame GBAGBO

Appelé le boucher d’ABOBO. Auteur de nombreux crimes pendant la crise d’ABOBO et sous le règne de LAURENT GBAGBO   

5

Le Général DOGBO BLE BRUNO (ex-chef de la garde Républicaine)

Soupçonné d’avoir planifié, financé de nombreux crimes sous LAURENT GBAGBO. Accusé de crime contre l’humanité  

6

SORO KIGBAFORI GUILLAUME (ex-chef rebelle, patron des Forces Nouvelles)

Soupçonné de crime de guerre, crime contre l’humanité par l’application du principe ‘’ en responsabilité de commandement’’. Nie les massacres de DUEKOUE par les Forces pro-OUATTARA et ses soldats en parlant de légitime défense. Il est dans le viseur de la CPI. Mais il bénéficie du droit à l’impunité offert à lui par OUATTARA  

7

Commandant KONE ZAKARIA, LOSSENI, CHERIF OUSMANE

Soupçonnés tous et cités dans tous les rapports des ONG de Défense des Droits de l’Hommes comme auteurs de plusieurs crimes à l’Ouest, à Abidjan, non élucidés. Bénéficient aussi de la prime à l’impunité accordée à eux par le Président OUATTARA.  

8

Monsieur ALASSANE OUATTARA Président de la République de CI

Promesse de réduction de la vie chère non respectée. Augmentation des prix de gaz et de l’essence le 03 janvier 2013. Il a perçu au compte de la CI 11.000.000.000.000 F FRS d’Avril 2011 à Novembre 2012. Cependant, les ivoiriens sont le plus pauvres et les plus affamés de la sous région. Accorde l’impunité à SORO, aux chefs de guerre, FRCI,  DOZOS et aux hommes de son camp. Traque seulement les criminels pro-GBAGBO. Auteur d’une autre forme d’ivoirité appelée le rattrapage. Auteur de la DIOULATISATION de tous les secteurs d’activités du pays. Voyage trop (55 voyages en 21 mois de règne) opposé officieusement à la réconciliation. Promesses de campagne non tenues: ‘’Ne donne pas ta voix au chômage’’; plus de 4.000.000 de jeunes sont des chômeurs dans ce pays; ’’ne donne pas ta voix à la pauvreté’’; plus de 14.000.000 d’ivoiriens ne réussissent pas à avoir trois repas par jour. Politique de licenciement bien organisée Auteur de la phrase: l’argent ne circule pas mais travaille. Pourtant, les ivoiriens sont affamés.             

9

Mr GNAMIEN KONAN (actuel Ministre de la Fonction Publique)

Auteur de décisions qui appauvrissent les fonctionnaires. Opposé au bonheur des travailleurs. Adepte des mesures esclavagistes à l’endroit des fonctionnaires.  Dictateur. Homme politique sans cœur. L’exécuteur des mesures antisociales. Trouve du travail pour ceux qui ont pris les armes, ignore les chômeurs diplômés.

10

Madame KANDIA CAMARA KAMISSOKO (actuelle Ministre de l’Education Nationale)

-          Auteur de mesure de radiation, de suspension de salaire, de déferrement des enseignants devant le Conseil de Discipline et de leur emprisonnement en cas de grève. Opposée au dialogue, à la réconciliation. Tentative de fermeture des écoles pour un an. Auteur d’appauvrissement des enseignants. Pourtant, un scandale financier  embaumerait son Ministère. Quel paradoxe ?

11

Le ‘’Dépité’’ ALPHONSE SORO de KARAKORO

Adepte de la pensée unique. Opposé à la réconciliation. Encourage le rattrapage. Opposé à toutes critiques contre ADO. Adepte d’une République sans opposants au pouvoir. Adepte d’un parlement à vote mécanique et robotisé. ‘’Dépité’’ antidémocratique dans un parlement.    

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GNAMIEN KONAN M’INQUIETE

20 Janvier 2013 , Rédigé par dialoguonns

S’il y a un Ministre de la République qui veut refaire la CI, pièces par pièces c’est celui de la Fonction Publique. D’ailleurs, quel est le nom de son parti politique ? Sauvez-moi s’il vous plaît, je l’ai oublié. Je me demande si la formation politique par laquelle il a intégré le RHDP existe encore dans le gotha politique ivoirien. A-t-il démissionné de ce parti ? En réalité, je n’entends plus parler de ses militants, ni de ses sections. Le parti se résume t-il en la seule personne de GNAMIEN KONAN ? vivement que le Président GNAMIEN KONAN nous fasse une démonstration de  santé, de son parti afin  de nous situer sur son assise nationale. En vérité, Monsieur GNAMIEN KONAN n’a plus personne dans sa formation politique. Il s’est servi d’eux pour franchir une étape et hop il les a abandonnés sur l’autre côté de la rive. Le bonheur est égoïste. GNAMIEN et son parti sont au même niveau d’audience que GUEU DROH et le parti communiste de CI. La preuve, l’actuel Ministre de la Fonction Publique dans sa quête effrénée de poste politique, s’est rendu à la présentation de sa candidature à la population dans le GBÊKÊ, en compagnie d’AMADOU SOUMAHORO, Secrétaire général par intérim du RDR et une forte délégation de ce parti. Que se passe t-il ? GNAMIEN a-t-il viré au RDR ?car AMADOU SOUMAHORO que nous connaissons, est très rare en éloges, si vous n’êtes pas de son bord. Le SG du RDR a fait ‘’l’attalakou’’ du Ministre comme si ce dernier a signé son billet d’entrée dans le parti à la case verte. Franchement ce vagabondage politique m’inquiète, de la part d’un Ministre qui prône la bonne moralité chez les fonctionnaires. Les militants de notre cher Ministre, anti-bonheur des travailleurs de la Fonction Publique, ne tiennent que dans une cabine téléphonique. La rareté des militants de son parti recommande qu’il le compense par des déclarations qui vont de pair avec la vision du grand manitou qui l’a nommé. GNAMIEN lui-même oublie qu’il a bénéficié d’avantage de salaire sous FELIX HOUPHOUET BOIGNY, BEDIE, GUEI et GBAGBO. Devenu Douanier par appels d’offres, sinon informaticien d’origine professionnelle, pourquoi a t-il amélioré les conditions de vie et de travail sous sa gouverne ? Aujourd’hui Ministre, il refuse d’accorder un quelconque avantage aux travailleurs de CI. Le lui demander de manière légale, c’est palabre (pour parler comme ADJAME). Se taire aussi, c’est vivre la dictature, les menaces de GNAMIEN KONAN. Un Ministre sans cœur. Pour ce Monsieur, il faut mettre au chômage une bonne partie des fonctionnaires qui ont voté pour OUATTARA. Surtout ceux de la génération 2000 à 2010. Tout le monde se demande: comment Monsieur GNAMIEN KONAN  a acquis le siège de son parti ? Avec quel moyen financier a-t-il battu sa campagne présidentielle ?  D’où viennent les fonds qu’il a distribués et utilisés pur entretenir ses militants ? GNAMIEN a-t-il économisé, en sa qualité de DG de la Douane à partir de son salaire (net à payer), pour réussir à financer ses grandes photos de campagne et louer les encarts publicitaires ? Combien de temps a t-il fait à la Douane pour réussir cette prouesse ? S’est-il contenté seulement de son salaire  ou bien y a-t-il autre chose qui constituait pour lui une entrée de devises ? Une campagne présidentielle et l’entretien d’un parti politique nécessite des milliards. GNAMIEN KONAN est-il devenu milliard après son départ de la Douane ? Toutes ces questions méritent un audit sur son règne à la Douane. Il est bon que tous ceux qui appauvrissent le peuple le sachent une fois pour toute. Quand on veut prôner des valeurs, il faut être sûr de ne pas traîner des casseroles. La théorie et la critique sont aisées. Cependant dans la pratique on se heurte à la réalité. Au finish, on est incapable d’être ce qu’on a prôné. Quel est le leader politique dans ce pays qui peut se déclarer blanc comme neige ? Il  faut éviter de voir dans l’œil des pauvres fonctionnaires ivoiriens, la poutre c'est-à-dire la tricherie, la corruption, la paresse, la manipulation politique. GNAMIEN KONAN n’est pas descendu de mars pour occuper ce poste. Il sait le niveau de pauvreté des ivoiriens en général et des fonctionnaires en particulier. Alors, pourquoi refuse t-il d’entendre les cris des affamés de ce pays ? Le Gouvernement avec à la tête le Président OUATTARA sait mobiliser les ressources c'est-à-dire s’endetter. Mais ils ne savent pas partager les richesses de ce pays. Elles sont destinées à un clan, et à une catégorie d’ivoirien. Ce sont eux les privilégiés du pouvoir. Le reste peut mourir en paix par la famine et les FRCI. GNAMIEN KONAN a décidé de ne pas organiser le concours d’entrée à la Fonction Publique. Par contre, depuis sa prise de fonction, combien de matricules a-t-il créé pour les éléments des Forces Nouvelles, analphabètes en réalité, qui sont entrées dans les différents corps de métiers de CI sans test ? Le travail est réservé à ceux qui ont pris les armes. Le chômage est attribué aux élèves et aux étudiants et aux diplômés. Ils peuvent attendre encore. Le temps d’être frappé par la limite d’âge et vieillir dans les salons de leurs parents pour les garçons et devenir vieilles filles pour les femmes. ‘’ Ne donne pas ta voix à la pauvreté’’, ‘’ne donne pas ta voix au chômage’’. C’est ça la solution ADO colorée GNAMIEN KONAN.

 

FRANCK LUSSE

 

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GBAPÊ HOHA ! COMME OPADJELET

20 Janvier 2013 , Rédigé par dialoguonns

Pour ceux qui l’ignorent, le surnom bété  (groupe ethnique de l’ex-leader de la Jeunesse Patriotique) de BLE GOUDE CHARLES  est GBAPÊ. La question que tout le monde se pose est la suivante: GBAPÊ GREGOIRE s’est-il laissé prendre pour entrer dans la vie politique ivoirienne ? Ou a-t-il été vraiment cueilli comme une mangue mûre ? Une chose est certaine, GBAPÊ a été pris comme OPADJELET. OPADJELET était le surnom de l’ex-Président de CI, Monsieur LAURENT GBAGBO, sous l’ère FELIX HOUPHOUET BOIGNY, où il brillait tout feu tout flamme et l’opposition faisait feu de tout bois. Cependant, OPADJELET fut attribué premièrement à un opposant farouche à HOUPHOUET BOIGNY, qui tenta de créer un état scissionniste, ayant pour capitale GAGNOA, appelé EBURNIE. Il planta le drapeau de l’état d’EBURNIE à la place du drapeau Orange, Blanc, Vert de CI. La suite à la connait. En réalité, OPADJELET est un arbre très puissant en pays bété. Pour enlever son écorce ou prononcer son nom, il faut frapper trois fois sur son tronc. Cela traduit sa puissance, sa résistance, sa grandeur et le respect qu’on a pour cet arbre. Revenons à l’arrestation de GBAPÊ. Que peut-on dire ? Bravo aux policiers Ghanéens et ivoiriens ou YAKO GBAPÊ. Pour l’instant,  on ne peut qu’applaudir avec les mains et les pieds le régime d’avoir atteint son objectif. Tout est à son honneur. Pour tous les admirateurs de GBAPÊ, il faut qu’ils sachent que la vie d’un homme politique ressemble au cycle de vie d’un produit en général. Qui comprend quatre phases: la naissance ou l’introduction sur le marché, la croissance, la maturité et le déclin. Voici le parcours réel de tous les hommes qui font de la politique. GBAPÊ est-il dans sa phase de déclin ? Franchement, pour l’instant tout porte à le croire. Car les autorités actuelles mettront tout en œuvre pour abréger sa carrière politique en le transférant à la CPI, coûte que coûte. A moins d’un revirement de 180° du régime actuel. Il faut que les amis et frères de l’ex-leader de la COJEP comprennent qu’une nouvelle donne vient de s’imposer à eux. Ils ne peuvent rien changer jusqu’à nouvel ordre. Ils sont les observateurs d’une situation qui leur échappe. GBAPÊ sait aussi, tout au fond de lui, qu’il doit s’apprêter à assumer les propos et les actes posés dans sa vie politique. C’est aussi le sens de la responsabilité qui revient à tout leader d’opinion quand ce tableau se présente à lui. Nul ne peut sur terre, échapper aux conséquences positives ou négatives de ses actes. Quelque soit le nombre d’années que cela va durer. Les ennemis de GBAPÊ vont se réjouir aussi longtemps que possible. C’est un soulagement pour eux. Justice doit être rendue, on entend dire dans leur camp. Cependant, pour nous société civile, après GBAPÊ, il est temps que le pouvoir regarde dans son camp. Car des personnes comme AMADE OUEREMI et d’autres pro-OUATTARA en l’occurrence SORO GUILLAUME, Cdt LOSSENI, KONE ZAKARIA, CHERIF OUSMANE tous cités par les nombreuses ONG de défense droit de l’homme dans des crimes non élucidés, soupçonnés de crime de guerre, crime contre l’humanité doivent assumer aussi leurs actes. La liste n’est pas encore achevée. La justice que réclame le peuple doit mettre toutes les personnes suspectées sur le même pied d’égalité. Il faut éviter, concernant les cas d’atteinte à l’intégrité physique de l’homme, de rechercher les coupables dans un seul sens. Tout crime est crime. Toute personne indexée doit comparaitre devant les Tribunaux. Il le faut pour une véritable réconciliation en CI. Madame KOUYATE OUMOU, chercheure associée au Centre d’Etude Africaine de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales de Paris, anthropologue et ethnologue nous prévient à travers une interview publiée dans un quotidien de la place. Concernant la justice, elle dit: « avant de parler de la justice ivoirienne, je veux évoquer les exactions, les injustices criardes et les violations massives des droits humains perpétrés ici et là. L’impunité généralisée aujourd’hui, qui sévit sur l’ensemble du territoire ivoirien.» A propos des droits de l’homme, elle est claire: « il s’agit de faire en sorte que les libertés individuelles et collectives soient une réalité dans ce pays……..au niveau de la Justice, nous constatons qu’il y a incontestablement une justice des vainqueurs et même si nous fermons les yeux, les indices montrent qu’il y a également des exactions qui ont été commises par les partisans du nouveau pouvoir. Face à cette vérité, il est tant que tous ceux qui ont tué, qui ont violé, massacré les populations sans défense, qui ont pillé les domiciles, qui occupent illégalement des maisons… soient remis à la justice … ceux qui ont commis des meurtres, des pogroms lors de ces périodes troubles pour notre pays. C’est hors la loi, sans foi ni loi qui ont pignon sur rue doivent expliquer leur acte devant les tribunaux.» Elle prévient: « il y a dans la population, des gens qui attendent la dernier sifflet pour régler leur compte. Je l’entends, je le sens, je le vois. Il y a un parfum de vengeance et de revanche perceptible dans l’air.» Que peut-on dire en lisant ces constats, ces avertissements ? Rien. Ce sont les réalités de ce pays que certaines personnes veulent occulter, masquer par des promesses qui n’arrivent jamais. Chaque acteur de la crise ivoirienne depuis 1993, devra payer sa note contractée par le biais des crimes, vols, pillages et casse de la BECEAO. Je ris souvent en voyant des personnes se déclarer invulnérables, inattaquables, intouchables, fières d’avoir faire du tord aux ivoiriens, pour leurs intérêts personnels. Pourtant, ils parlent parce qu’ils ont encore le souffle de vie. Dès qu’ils devront rendre l’âme à Dieu et laisser leur corps matériel au fond d’un trou de la terre, leur grandeur et puissance n’existent plus. Ils deviennent des justiciables devant l’Eternel. C’est la partie du film qui est intéressante. Leurs nombreux surnoms de demi-dieu disparaissent et ils subissent le lourd tribut de leur karma. C’est pour cela, nous disons toujours, quoi qu’on fasse et quoi qu’on dise, tôt ou tard tous paieront. Ceux mêmes qui ont les rênes et les destinées de ce pays passeront obligatoirement par cette trappe. Que Dieu nous garde.

FRANCK LUSSE

 

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LIMOGER LE PROCUREUR SIMPLICE POUR PROTEGER SORO ET ASSOCIES

15 Janvier 2013 , Rédigé par dialoguonns

Ce pays ne sera jamais un Etat de droit. Toutes les professions de foi faites, sur les antennes de nos medias, ne servent qu’à nous endormir. Qu’a fait le Procureur SIMPLICE KOUADIO pour être débarqué de son poste un Dimanche (le 13 janvier 2013) ? En réalité, ce régime n’aime pas la vérité et ne veut pas faire de la justice un plier important dans le développement de la CI. Pour tous ceux qui connaissent l’ex-Procureur de la République SIMPLICE KOUADIO, ils savent que ce Magistrat est intègre et rigoureux. Un Magistrat qui ne rentre pas dans le schéma des spécialistes du non droit du régime actuel. En effet, à la suite de la bousculade du 31 décembre 2012, événement qui a fait plus de 60 morts à l’entame de l’année 2013, le Gouvernement a donné une position qui dégage sa responsabilité dans le cadre de ce drame. Une situation regrettable qui concerne plusieurs enfants de CI, partis fêter la lumière au Plateau. Par contre, l’ex-Procureur de la République SIMPLICE KOUADIO, à la suite d’une enquête minutieusement menée, conclut qu’il ya des indices prouvant que toutes les dispositions n’ont pas été prises pour éviter ce drame. Surtout l’insuffisance des Forces de l’Ordre pour la Sécurité des fêtards. Selon certaines rumeurs, elles seraient allées sécuriser l’anniversaire d’une haute personnalité de ce pays à ASSINIE le 31 décembre 2012. Par conséquent, la logique était qu’il n’y ait pas assez d’hommes en tenue pour canaliser la foule. Ce qui tranche avec les positions officielles. C’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Entrainant le limogeage de notre Procureur très professionnel. Cependant, le dossier sur lequel le Procureur était craint est le transfèrement de Madame SIMONE GBAGBO. Notre Magistrat assez rigoureux dans la tête et dans le travail n’est plus maitrisable par ceux qui l’ont nommé. Alors, tous les membres du clan de OUATTARA craignent que le procureur SIMPLICE donne son accord au plan judiciaire pour le transferement de la première Dame. Car les mêmes causes produisant les mêmes effets, Madame GBAGBO est en droit de se retrouver devant les Juges de la CPI. Le procureur ne pouvant pas prononcer l’irrecevabilité de la demande de la CPI, alors certaines personnalités le trouvent trop autonome et indépendant. D’ailleurs En qualifiant le transferement de Madame GBAGBO irrecevable, cela posera forcement un problème juridique dans le cadre du procès de Monsieur GBAGBO. Le pouvoir est à la recherche d’un Magistrat capable de geler tous les mandats d’arrêt ou d’amener de la CPI aussi longtemps possible comme TCHIMOU RAYMOND l’a fait dans l’affaire de la disparition de GUY ANDRE KIFFER. Et cela pour éviter l’exécution des mandats d’arrêt sous scellés concernant SORO et ses com-zones. Le Ministre actuel de la Justice est un membre des Forces Nouvelles. Sa nomination rassure SORO GUILLAUME. Il sait qu’il ne sera pas transféré de sitôt devant le Juges de la CPI. Et cela jusqu’à nouvel ordre. Dans ce pays, la prime à l’impunité est accordée à tous les pro-OUATTARA soupçonnés de crime de guerre et crime contre l’humanité. Par contre, les autres sont persécutés, traqués comme des animaux sauvages. Le succès de ce pays repose sur l’injustice. A quand l’égalité de tous devant la loi comme le dit notre Constitution. La Communauté internationale, nationale veut comprendre les raisons profondes du départ de ce haut Magistrat. La loi du silence est la seule appliquée dans le milieu exécutif concernant cette affaire. FRANCK LUSSE
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LE PEUPLE EST ABREUVE DE MENSONGES

14 Janvier 2013 , Rédigé par dialoguonns

Le nouvel an est l’occasion pour tous de souhaiter la bonne année aux ivoiriens, pour les 365 jours à venir. Le message du nouvel an du chef de l’Etat n’a pas dérogé à la règle. La preuve, il a encore fait des promesses et fait espérer tous les ivoiriens, d’un lendemain meilleur en 2013. Morceaux choisis de ses propos. « Avec un taux de croissance qui sera parmi les plus élevés du continent et même du monde, notre économie est en pleine mutation et se diversifie.» « En plus de l’amélioration des revenus, il nous faut par ailleurs atténuer de façon significative les effets de la vie chère. Le Gouvernement en a fait une priorité. Grace à nos efforts en matière fiscale et réglementaire, nous avons pu contenir l’inflation.» « Il est de notre responsabilité de rassembler tous les ivoiriens, sans distinction, sur les bases de justice et d’équité. » « cette recherche de cohésion ne peut se faire au détriment de la justice et de la lutte contre l’impunité » « L’ensemble des mesure que nous avons déjà prises et celles en cours porteront leurs fruits dès l’année 2013; chaque ivoirien pourra en sentir les effets sur son quotidien.» Le chef de l’Etat, actuellement en Allemagne et en France, est à son 55ème voyage depuis le 11 avril 2011. Il a livré ses propos aux ivoiriens par le canal de la RTI le 31 décembre 2012. Le 03 janvier 2013, le prix du gaz domestique, pour les bouteilles de 6 kg passe de 1.800 F à 2000 F, celui de 12 KG passe de 4.000 F à 5.200 F. L’essence passe de 774 F le litre à 792 F. Comment peut-on appeler cette dichotomie entre les propos du chef de l’état et les réalités des ivoiriens ? Je ne sais pas la qualification donnée. Cependant,  une chose est certaine, le Président de la République ne nous a pas dit la vérité. Revenons à ses propos. Quelle prouesse économique fera la CI pour avoir un taux de croissance le plus élevé du monde ? Une CI qui s’endette à n’en point finir. ADO, en économiste parfait nous informe que pour atténuer de façon significative les effets de la vie chère, il faut démarrer l’année par une augmentation des prix du gaz et de l’essence. Et chaque ivoirien pourra sentir les effets de la réduction de la vie chère, après ces mesures d’augmentation. Je ne sais pas, si en bon élève du FMI, le Président OUATTRAA se rend compte que les ivoiriens n’écoutent plus ses nombreuses promesses et ses propos qui se fichent de leur quotidien misérable. La seule chose que notre président sait faire, c’est ce qu’il a appris au FMI. Dans ce monde actuel, avez-vous vu le FMI développer un Etat ?  Cessons de promettre au peuple. Car il a n’a marre de toutes ces gesticulations qui l’appauvrissent de jour en jour. Faisant croire que ‘’ CA VA ALLER ‘’.  Rien n’ira dans ce pays sous ce régime. On bricole par ci par là, pour mettre de la poudre aux yeux des ivoiriens. Ce qui est ridicule dans cette affaire, ce sont les explications du Ministre des Mines, du Premier Ministre et les Experts. Tout cela ressemble bien à quelque chose sauf la vérité. Car OUATTARA viendra affirmer  plus tard: ‘’ C’est depuis 2011 que nous aurions du augmenter les prix de l’essence et du gaz ‘’. Pourquoi voulez vous faire croire au peuple que la mesure d’augmentation répond à des besoins patati patata ? Ce régime prend les ivoiriens pour des enfants. Il faut nous berner à tout moment, nous contraindre à accepter les mesure les plus criminelles. Ensuite nous tétaniser, nous opprimer avec la présence accrue des FRCI dites TONTONS MACOUTES. Un règne qui se passe dans l’oppression, le traumatisme des consciences libres. Il faut tout faire pour briser toute idée de contestation pour de meilleures conditions de vie. Pauvres ivoiriens, cloitrés, apeurés, ligotés, tétanisés, les bouches ouvertes recevant la seule goutte de miel, de manière journalière, lâchée par nos gouvernants. C’est la ration quotidienne d’un peuple qui ne tient plus sur ces pieds. Victime de violation flagrante des droits de l’homme par les FRCI et affamé par un pouvoir qui se fout du quotidien de ses compatriotes, le peuple est abreuvé de promesses qui ne se concrétiseront jamais. Combiens d’ivoiriens resteront-ils en vie après le règne du brave tchè ? Peut être les hommes de son camp et quelques admirateurs des autres régions qui mangent à leur faim et qui étaient les invités d’honneur de notre Président à son anniversaire le 31 décembre 2012. Les autres, apprêtez vous à mourir de faim, de peur et d’atteinte à votre intégrité physique par vos joyeux nouveaux soldats analphabètes et les kamajors (Dozos en CI).

 

FRACNK LUSSE

 

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MADAME KANDIA CAMARA KAMSSOKO, L’INCOMPETENCE AU SERVICE DE LA MEDIOCRITE

14 Janvier 2013 , Rédigé par dialoguonns

 

 

L’école n’est pas une priorité en CI. La formation de base ne constitue pas un pilier fondamental dans le plan de développement de OUATTARA PREMIER, Roi de CI. Pourquoi ? D’abord dans la désignation ou la nomination de celle ou celui qui doit apporter un souffle nouveau au Ministère de l’Education Nationale et de la Formation de Base, le chef de l’Etat  a tiré à Côté. Car l’actuel chef du Département, sauf son respect, n’est une icône ou élite de la formation de base en CI. Elle ne fait pas partie de la lignée de ceux ou celles qui peuvent penser une école adaptée aux réalités ivoiriennes. C'est-à-dire un système éducatif capable de nous produire moins de déchets scolaires. FELIX HOUPHOUET BOIGNY a réussi à baser l’école sur ce slogan télévisé ‘’ le succès de ce pays repose sur l’Agriculture’’. Qu’est ce que MADAME KANDIA CAMARA KAMSSOKO a         proposé aux ivoiriens depuis sa nomination ? Quel type d’ivoirien,  décide t-elle de former ? Apparemment, elle n’a rien à donner au ivoiriens. 52 ans après l’indépendance, la CI doit pouvoir mettre en place un système éducatif, doté d’une pédagogique moins calqué sur l’occident à savoir la France ou le Canada. A l’image du GHANA où les enfants les moins intelligents savent toujours faire quelque chose des dix doigts, notre pays doit pouvoir donner à ces milliers d’élèves un savoir faire en cas d‘arrêt de leur parcours scolaire. Les seuls projets de Madame le Ministre sont: les menaces, la radiation, l’emprisonnement des enseignants, la fermeture de l’école en cas de grève et l’organisation parfaite des examens scolaire. Projet made in ado solutions. Les conditions de vie des acteurs du système scolaire, on s’en fout. La dictature du régime se partage par département Ministériel. Aujourd’hui, il n’y a pas de concours pour ceux qui sont allés à l’école et titulaires de diplômes. Par contre, les jeunes qui ont pris les armes et qui ont servi la cause de la rébellion, analphabètes ou pas se retrouvent dans un service de l’administration du pays. Exemple aux impôts, à la douane, aux Eaux et forêts, au Trésor, à la Police, à la gendarmerie etc … en réalité, on fait la promotion de la médiocrité au lieu d’encourager les jeunes à aller à l’école. MADAME KANDIA CAMARA KAMSSOKO doit pouvoir nous sortir un portrait robot du jeune ivoirien qu’elle veut former. Elle doit proscrire le type d’ivoirien spécialisé en maniement des armes ou de la machette, analphabète, pétri de talent en matière de crime, vol et viol. Si FELIX HOUPHOUET BOIGNY a permis aux jeunes ivoiriens, sous son régime de savoir cultiver la terre, que nous propose Madame le Ministre de l’Education Nationale ? Une petite piste pour l’aider. Elle doit remettre au cœur de la formation de base l’Agriculture, la terre. Car en CI chaque famille dispose d’une parcelle de terre, de par ces grands parents. Je ne parle pas des voleurs, pilleurs et spoliateurs actuels des terres. Aujourd’hui, nous avons encore les acquis de ces enseignements dans nos cerveaux. Nous savons manipuler la machette à bon escient (pas d’utilisation criminelle), la lime, l’arrosoir et repandre l’engrais. L’hymne national, nous savons chanter. En Education Civique et Morale, nous sommes bien éduqués. Il suffisait d’ajouter l’apprentissage des droits de l’homme à l’école primaire, pour avoir un enfant très complet. Il est toujours aussi important d’enseigner certaines coutumes qui se retrouvent dans toutes les tribus de CI, à l’école, pour permettre aux enfants de comprendre nos sociétés. L’histoire de la CI doit être revue et corrigée pour adapter les livres aux réalités du pays. Si MADAME KANDIA CAMARA KAMSSOKO veut avoir un type de jeunes ivoiriens capables de répondre aux exigences d’une nation en pleine mutation, elle doit sortir de son train train quotidien de Ministre pour mettre le service de la Pédagogie à contribution avec des objectifs bien clairs et nets. Elle doit, elle-même, prendre des d’initiatives avec ses nombreux conseillers militants indécrottables du RDR, pour donner à la CI un jeune ivoirien nouveau. Pas cet ivoirien qui sort tout droit des laboratoires robotisés de son parti. Pas cet ivoirien conditionné au soutien ou à adorer un seul Dieu, ADO et votant de manière mécanique à l’Assemblée Nationale. Un cabinet Ministériel ne sert pas à échafauder des stratégies qui n’ont rien à voir avec l’intérêt supérieur du pays. La CI est le sens de vie d’un Ministre de la République. Les compétences pour concevoir un ivoirien nouveau, il y en a. Seulement, le rattrapage a pris le cœur de MADAME KANDIA CAMARA KAMSSOKO. Elle devait, par compensation de son incompétence, faire preuve d’imagination débordante en matière d’innovation du système éducatif. Au lieu de nous servir des méthodes pédagogiques difficiles à appliquer sur le terrain et non productives. Servir l’Etat et servir ses intérêts sont deux attitudes contraires. Alors que le régime ne nous produise pas en matière de formation de base, des enfants Dozos, FRCI spécialisés en gris gris, crime et autres violations des droits de l’homme.

 

FRANCK LUSSE

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AFFAIRE PPMCI: QUE FAIT LA JUSTICE ?

14 Janvier 2013 , Rédigé par dialoguonns

S’il y a des décisions qui tranchent avec la logique, ce sont celles de la justice ivoirienne. Par principe, toute décision judiciaire est fondée sur le droit. Cependant, certaines sont incompréhensives pour le commun des ivoiriens. Dans l’affaire PPMCI où le Fondateur Président écroué à la MACA, depuis plus d’un mois, qui n’a pas été jugé, retrouve subitement la liberté, sans explications pour les nombreux plaignants. Créateur d’une ONG qui se fait passer pour une structure de Micro Finance, Monsieur KOUDOUGNON GNAZALE NARCISSE, par des micmacs dont il a lui seul le secret, a réussi à engranger plusieurs millions des nombreux épargnants. Aujourd’hui, beaucoup de ses adhérents sont ruinés à cause de cette structure. Face à l’incapacité du Président de cette ‘’ONG-MICRO-FINANCE’’ de rembourser ses adhérents, comme il est prévu dans leur contrat, plusieurs d’entre eux ont porté plainte pour escroquerie, abus de confiance. L’Etat de CI à travers le Trésor Public va l’accuser d’exercice illégal de fonction. Au regard de toutes ces charges qui pèsent contre le Fondateur de cette structure mixte bâtarde, ce dernier recouvre la liberté, sans que les adhérents qui ont plusieurs millions de francs CFA inscrits dans les livres comptables de PPMCI, rentrent dans leur fonds. Aucune justice n’est rendue pour soulager et dédommager les personnes qui ont gagné leur argent à la sueur du front. Qui va rembourser ces nombreuses familles qui broient le noir aujourd’hui ? Pour la petite histoire, selon certaines sources, son petit frère KOUDOUGNON JEAN JOEL, Trésorier de l’ONG au regard du récépissé de déclaration, narguerait les adhérents de PPMCI. A travers l’achat de station service, d’appartement dans les quartiers d’Abidjan et d’autres biens acquis grâce à la fortune amassée dans le cadre de la gestion de cette structure. D’ailleurs, la libération du fondateur de PPMCI a été annoncée avec faste sur les antennes, selon les auditeurs Agbovillois de Radio Voix de l’Agnéby le JEUDI 04 JANVIER 2013. Ville où cette ONG a vu naissance. C’est une injure faite aux populations qui n’attendent que se faire rembourser. Sans cela, la colère des épargnants va encore se faire entendre. Nul n’a le droit de se rendre justice. Cependant, la justice doit agir dans le sens de l’impartialité et surtout pour les pauvres. On est en droit de se poser la question si la justice ne protège pas Monsieur KOUDOUGNON GNAZALE NARCISSE. Le Fondateur étant devenu subitement multimillionnaire, propriétaire de plusieurs véhicules de luxe, par le truchement de personnes cachées dans l’ombre, bénéficie d’une protection quelque part. Car il est difficile de comprendre cette liberté du Fondateur-créateur du PPMCI. Sinon comment imaginer que des plaintes ont été déposées en bonne et due forme, cependant l’accusé recouvre la liberté sans jugement. S’il s’enfuit, qui remboursera ou paiera le préjudice subi par les plaignants ? Il faut éviter de retomber dans les travers d’un Etat où le droit n’existe pas. Les pauvres ont aussi besoin d’une justice qui défend leur cause. Sans cela, les gestionnaires et les fondateurs de PPMCI pourront fêter leur enrichissement illégal sans regrets et sans peur. Ils recommenceront un jour par le biais d’une autre structure. Force doivent rester la loi et la justice.                                 

FRANCK LUSSE
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2009 DECLARATION DU RDR APRES L’AUGMENTATION DES PRIX DU CARBURANT ET DU GAZ

14 Janvier 2013 , Rédigé par dialoguonns

Déclaration du RDR suite à l’augmentation  du prix du Carburant et du gaz domestique. La décision récente du régime GBAGBO d’augmenter le prix de l’essence super de 22%, celui du gasoil de 44% et celui du gaz domestique de 26%, est un  acte de mépris pour les consommateurs et les populations ivoiriennes qui souffrent des  conséquences de la crise et de la stagnation de leurs revenus plus de 20 ans. En effet, il y a quelques jours, le RDR a suggéré des mesures qui auraient d’éviter l’augmentation actuelle des prix, ou tout au moins, d’en réduire considérablement l’ampleur. Il s’agissait:

·         d’une réduction des prélèvements de d’Etat,

·         de l’optimisation de la structure des prix par ajustement du niveau de péréquation transport,

·         de la vérification des montants collectés et mise en œuvre des excédents collectés au titre de la péréquation transport,

·         de la suppression du prélèvement pour Stock de Sécurité,

·         d’un audit urgent des fonds collectés par la GESTOCI au titre des stocks de sécurité, de l’utilisation de ces fonds et de la mission et du statut de cette entreprise,

·         de la mise en œuvre des importants excédents financiers constitués grâce à la part ivoirienne dans les dans les revenus d’exportation de pétrole brut, estimés à 90 000 barils/jour en moyenne en 2006, et à 100 000 barils/jours en moyenne en 2007, chiffres confirmés par les institutions financières internationales, par les grandes centres mondiaux de l’économie pétrolière et par tous les experts. Les nouveaux tarifs vertigineux qui viennent d’être annoncés, ainsi que la structure des prix telle qu’elle se présente, indiquent qu’aucune de ces mesures de simple bon sens et de bonne gouvernance pour l’intérêt du plus grand nombre, n’a été prise en compte. En définitive, seul le consommateur paie.

L’Etat n’a pas réduit la valeur absolue de ses prélèvements. Il n’a pas été tenu compte des « matelas » financiers constitués:   

·         la base taxable n’a pas changé (200 frs CFA par litre) indiquant que le niveau de prélèvement de l’Etat reste identique, en valeur absolue à 155,606 frs CFA. Ce qui offre une grande marge de réduction que l’Etat aurait pu consentir au profit du consommateur.

·         Le prélèvement de péréquation n’a pas changé, en dépit de l’interruption de service et de la péréquation en zones CNO

·         Le prélèvement pour stock de sécurité est reconduit alors qu’il n’a aucune justification ou explication.

·         Aucun bilan réel n’a été fait sur le niveau et l’utilisation des revenus de l’Etat qui sont devenus très importants suite à l’augmentation de la production de pétrole brut et au doublement des prix du Baril sur le marché international.

Au sujet de cette augmentation sauvage des prix du carburant, le cas spécifique du Gasoil nous interpelle gravement. Le est la composant la plus demandée pour le transport en commun et aussi pour le transport des marchandises, dans les tracteurs et motoculteurs agricoles, les engins de Travaux Publics et bien d’autres secteurs productifs de l’économie. En effet plus de 95% des cars, des autobus, des bateaux, des minicars, des  taxis collectifs, des bâchées et camions fonctionnent au diesel. Il est ni acceptable ni compréhensible que cette denrée soit frappée par l’Etat. Le travailleur ivoirien qui voit son pouvoir d’achat diminuer tous les jours (gel des salaires combiné avec une inflation endémique (devra désormais consacrer une part encore plus grande de ce salaire de misère au transport, pour se rendre à son lieu de travail. Les commerçants de vivriers et d’autres biens et services n’auront d’autre choix que de répercuter le surcoût du transport sur le prix des denrées alimentaires et autres marchandises et services. Cette situation aggrave ainsi l’état de paupérisation du consommateur ivoirien et met en péril bien des efforts et projet de relance économique post crise et de création d’emploi au niveau des PME/TPE et opérateurs informels…

A défaut de n’avoir pas pu éviter cette augmentation des prix, il est à regretter que l’Etat n’ait pas envisagé des mesures d’accompagnement.

Aucun perspective de mesure d’accompagnement n’est mise en place ou simplement annoncée pour alléger la charge du consommateur moyen. L’initiative louable d’un Fonds de un milliard mis à la disposition d’un ou de plusieurs syndicats de transporteurs, n’apporte en réalité, à court ou moyen terme, aucune résorption de l’impact de la hausse du gasoil et des tarifs de transport.

Devons-nous croire que l’Etat avait pour seule préoccupation d’éponge le déficit de la SIR (sic) et que seul le consommateur a été ciblé pour résorber ce déficit ?

En effet, aucun autre agent dans la chaine de distribution ne perd le moindre franc sur ses revenus. Mieux, les autres intervenants ont eu la latitude de brasse des fortunes en spéculant sur les stocks en cuves acquis au cours anciens ca, dès l’annonce de la mesure, certaines stations-service ont fermé faisant ainsi la rétention de stock afin de jouir des nouveaux tarifs.

Il est donc temps que le Ministre des Mines et de l’Energie et ses structures  compétentes sous tutelle en la matière, rendent compte à la nation sur la gestion de la structure des prix.

Dans cette attente et à titre transitoire et conservatoire pour 90 jours, nous demandons que la hausse des prix à la pompe soit ramené au niveau moyen des prix du Mali, du Burkina-Faso, et du Niger, pays frères de l’hinterland dont la majeure partie des produits pétroliers viennent de la SIR, notre raffinerie et de notre port, le Port d’Abidjan.

L’Etat n’a pas le droit de faire supporter aux consommateurs seuls, les conséquences de cette crise du pétrole. »

Pour la Commission Technique Mines et Energie.

 

La présidente

TOURE MAFERIMA  
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