• 1er Monsieur ALASSANE DRAMANE OUATTARA président de Côte d’Ivoire

Auteur de: fausses promesses électorales (ne donne pas ta voix au chômage, à la pauvreté. En réalité, les ivoiriens sont devenus plus pauvres et les jeunes abandonnés au chômage.), la mauvaise qualité des vies des ivoiriens (pouvoir d’achat nul, prise en charge sanitaire zéro, sécurité inexistante, hausse des prix des denrées de première nécessité), auteur de développements infrastructurel qui n’a aucun impact sur la qualité de vie des ivoiriens. Travailleurs, planteurs et chômeurs dans la misère. Auteur coup d’état de 99 et de la rébellion de 2002 (financier et stratège), de la planification de l’assassinat des gendarmes et leurs enfants à BOUAKE en 2002. Encourage l’expropriation des terres et des plantations des mains des ivoiriens en donnant un coup de pouce à ses frères, des lois impopulaires relatives à la nationalité (lutte contre l’apatridie et le projet de loi relatif à l’application du droit du sol en vigueur de 1961 à 1972), d’un prochain conflit intercommunautaire plus meurtrier que la crise postélectorale, de la distribution de la prime à l’impunité à SORO, Com.-Zone, occupants des forêts de l’Ouest, FRCI, Dozos , Combattants supplétifs, tous criminels, de l’échec des ivoiriens à se réconcilier, de la justice à double vitesse, de la mise sous scellé des mandats d’arrêt de la CPI concernant ses proches, de nombreux voyages à l’extérieur du pays (75ème voyages actuellement)

• 2ème Monsieur SORO KIGBAFORI GUILLAUME, Président de l’Assemblée Nationale de CI.

Co-auteur et complice dans le massacre des FDS, Gendarmes et enfants, policiers, agents des Eaux et Forêts, Douaniers, dès l’éclatement de la rébellion le 19 SEPTEMBRE 2002, de l’assassinant de IB, des crimes commis par les Soldats du MPCI, MPIGO, MJP, Forces Nouvelles, FRCI le 19 SEPTEMBRE 2002 jusqu’au 11 AVRIL 2011.

• 3ème les Com.-Zones FOFIE, CHERIF OUSMANE, TOURE HERVE, ISSIAKA OUATTARA dit WATTAO, BEN-LADEN (Préfet de Région de San-Pédro), KONE ZACHARIA.

Co-auteurs et complices des massacres, des assassinats, des crimes des éléments MPCI, Forces Nouvelles et FRCI. Paradoxalement, ils sont en liberté et même promus à de hauts rang dans l’armée et dans l’Administration Publique. Ils continuent à piller les ressources minières et forestières du pays. Ils vivent au beurre grâce aux biens volés, pillés, braqués par leurs élements. Ils bénéficient tous de la prime à l’impunité.

• 4ème les 08 burkinabés des forêts classées et plantations à l’Ouest de la CI. Ils sont auteurs des crimes, d’expropriation de terres et de parcelle de forêt à l’Ouest, de fosses communes créées à l’occasion du massacre des populations civiles dans leur volonté d’occuper de force les biens des familles GUERE, WOBE, YACOUBA. Ils bénéficient de la prime à l’impunité.
• 5ème CISSE BACONGO, Ministre de l’Enseignement supérieur. Soupçonné de surfacturation dans le coût de la réhabilitation des universités de CI. Auteur de contrat gré à gré, de propos injurieux, xénophobes à l’endroit des ivoiriens d’origine. Il envenime la tension dans le pays par ses thèses sur la nationalité. Encourage le conflit intercommunautaire. Ignorant en sciences juridiques. Car virer de l’UFR des Sciences Juridiques et Politiques de l’Université de FELIX HOUPHOUET BOIGNY de COCODY pour incompétence.
• 6ème JOEL N’GUESSAN, Porte-parole du RDR. Auteur de propos injurieux, xénophobes à l’endroit des planteurs, chômeurs et des couches défavorisées de CI. Met le feu à la tension politique dans ce pays. Pousse ses partisans à un conflit intercommunautaire. Encourage les étrangers à annexer les terres des ivoiriens sans leur avis. Le Sud-ouest et l’Ouest sont déjà en feu.
• 7ème le nouveau Réveil, journal pro-Bédié.

Un journal rétrograde, antidémocratique. Son propriétaire encourage la division au PDCI, la dictature, la pensée unique, le non respect des textes du parti. Le journal couvre les crimes, les tueries des FRCI de SORO et de ses Com.-Zones. Il ne fait jamais de promotion de droit de l’homme. Il est muet sur la mauvaise gestion de OUATTARA et ses fausses promesses. Le propriétaire Mr. KAH ZION utilise son journal pour casser ses adversaires et se positionner lui-même. Un journal abonné aux pots de vin pour causer du tort à des personnalités opposées à BEDIE. Cesser de lire ou d’acheter le Nouveau-Réveil.

• 8ème HENRI KONAN BEDIE et son neveu GNAMIEN N’GORAN. Deux adeptes de la facilité, abonnés aux théories de lutte démocratique, du tribalisme, du copinage et des pots de vin. BEDIE, auteur de la surfacturation des entreprises (SODE) dans les années 70. Fête ses milliards à moins de 30 ans d’âge. Ambassadeur à 26 ans, pourtant il s’oppose aujourd’hui à la promotion des jeunes dans le PDCI. Il est l’auteur de la mauvaise forme du parti sur le terrain, depuis 1993 jusqu’à nos jours. GNAMIEN N’GORAN, co-auteur et complice des détournements de denier publics sous le régime d’HENRI KONAN BEDIE (de 93 à 99). C’est cet homme que BEDIE veut positionner pour donner un souffle nouveau au PDCI. Erreur de GAWA. BEDIE doit prendre sa retraite et GNAMIEN N’GORAN doit s’effacer.
• 9ème ADJOUMANI KOUASSI (Ministre de la Production animales). Ministre militant qui veut demeurer à son poste à vie. Pour lui KKB doit rester doit se taire. Il a promis refroidir KKB avant le congrès. Il y a danger. Militant alimentaire attaché à ses intérêts personnels. Il s’oppose à la démocratisation du parti.
• 10ème les Délégués du PDCI à BASSAM. Voici des Responsables d’un parti, tous âgés de plus de 55 ans, qui s’opposent aux textes du parti et à sa restructuration. Ils se plaisent tout le temps à produire des motions de soutien à celui qui a affaibli le PDCI. Aucun esprit critique, d’innovation de leur part. L’avenir du PDCI leur échappe. Pourtant les militants de base se plaignent.
• 11ème DANIEL KABLAN DUNCAN (premier Ministre) Complice dans la rédaction des projets de loi impopulaire du gouvernement. Il sera comptable des morts et des blessés des prochains conflits intercommunautaires en CI basés sur le foncier rural et la nationalité.

ZAMBA est un jeune de nationalité burkinabé, ayant pour seule fonction le braquage, le vol en réunion et l’assassinat de ses victimes si ces derniers résistent. Selon les informations recueillies, les activités de ce jeune caïd de la pègre Abidjanaise sont connues de tous dans la commune d’ATTECOUBE, un quartier d’Abidjan. Depuis plus de trois (03) mois, il ne se passe pas une nuit, sans que la paisible population de cette commune ne soit réveillée par des voleurs. ZAMBA est à la tête d’un groupe de plus de 40 personnes écumant chaque coin et recoin de ce village Ebrié. Les plaintes se multiplient. Mais rien ne change. Toutes les structures de sécurité sont au parfum de l’existence du groupe de ce jeune homme. Malheureusement, ZAMBA et ses amis continuent de semer la terreur, la mort dans la cité. Les Com. zones nommés à la tête des structures de sécurité sont apparemment inactifs. Certains habitants de la commune nous expliquent leur comportement, par le fait que la nationalité de ZAMBA joue en sa faveur. Car s’il s’agissait d’un ivoirien, il serait déjà abattu par le FRCI ou autres forces de sécurité. C’est vrai en raison du fait que les FRCI sont composés en majorité de jeunes burkinabés. « Chien mange pas chien ». Ils n’ont pas envie de ‘’buter’’ leur frère. Par conséquent, ZAMBA a encore de longs mois pour voler, casser boutiques et maquis, braquer les honnêtes citoyens et au finish tirer à bout portant sur ses victimes. Un autre AMADE OUEREMI de la forêt du Mont Péko. Lui au contraire mène ses activités en pleine capitale économique, au vu et au su de tous les Ministres chargés de la défense et de la sécurité de la population. Le père de ZAMBA le caïd d’ATTECOUBE nargue tout le monde en ces termes: « si vous pouvez arrêter le vent, vous pourrez arrêter mon fils.» Il faut noter que le vieil homme est un handicapé physique qui croupit à son domicile depuis belle lurette. Le génie protecteur de ZAMBA et son père. Qui lui donne pouvoir mystique d’apparaitre là ou il faut et de demeurer introuvable quand on le recherche. Il a toujours su s’échapper. Ce qui choque les ivoiriens est que c’est à ces quidams qu’on veut accorder la nationalité ivoirienne, par le biais de leurs géniteurs. Ils viendront tout bonnement affirmer qu’ils vivent en CI avant 1960. Et aussi, leurs enfants sont nés entre 1960 et 1972. Quelle bêtise ! Vivement qu’on mette fin aux activités de ZAMBA le voleur, sinon les habitants d’ATTECOUBE rendront eux-mêmes justice.FRANCK LUSSE

Le lundi 05 août 2013, j’ai été témoin d’une scène dans l’une des sous-directions du Ministère de l’Education Nationale de CI, au Plateau. Une scène qui choque, révolte et met mal à l’aise. Le matin de ce jour, j’ai décidé d’aller répondre à une invitation de mon grand frére , dans l’une des tours administratives du quartier des affaires d’Abidjan. Il faut noter que mon aine est d’ethnie Baoulé. Il partage la salle qui fait office de bureau, avec des collègues au nombre de quatre (04) dont une femme et trois garçons. C’est un service qui reçoit la visite de nombreux enseignants pour le dépôt de documents administratifs, des informations, demande de service etc. Assis sur une chaise de fortune à côté de mon ami, j’ai vu entrer un homme ayant la cinquantaine passée. Il a l’air un peu fatigué sinon sonné par la maladie. Il ne savait même pas ou s’orienter pour déposer son document. Il fut guidé par mon ami vers un de ses collègues d’ethnie Dioula. Ce dernier prit le document de l’usager, lut son nom trois fois et remua la tête. Ensuite, il demanda au fonctionnaire de repasser dans deux (02) semaines. Ce dernier voulut réclamer la clémence de notre bureaucrate pour ramener à une juste proportion son rendez-vous, la réaction du collègue Dioula fut catégorique. Sur un ton coléreux et à haute voix, il cria: « je vous dis dans deux semaines, un point un trait ». Je fus surpris par ce comportement d’un serviteur de l’état. Blessé, mon sang fit un tour. Mon ami me fixa et fit signe de ne rien dire ou de ne rien faire. Car connaissant ma profession et mes réactions, il anticipa sur ce que devait devenir peut-être une dispute. Tout honteux, marqué dans sa chair, le vieil enseignant sortit du bureau sans demander son reste. Quelques minutes après je pris congé de mon ami. Il m’accompagna jusqu’à l’ascenseur. C’est là, à deux que je lui demandai des explications relatives au comportement de son collègue. Il me fit des révélations à vous laisser pantois. En effet dans ce service, ce fonctionnaire Dioula n’aime pas avoir affaire à des usagers portant un nom ABBEY, ATTIE, DIDA, GUERE, WOBE. Surtout les ABBEY et les ATTIE, il ne les aime pas. A l’égard de ceux-ci, il n’est jamais tendre. Pour quelles raisons ? Mon ami m’a répondu qu’il n’en sait rien. Car depuis la crise postélectorale, il se comporte ainsi. Malgré les interventions, il n’est pas à son premier acte xénophobe. Toujours un comportement déplacé à l’endroit des ressortissants des zones qui ‘il soupçonne de ne pas soutenir OUATTARA. Si j’ai bonne mémoire sous la refondation, le délit de faciès a été dénoncé par le RDR et toute l’opposition. Aujourd’hui au pouvoir, ce sont eux au ministère de l’Education Nationale, qui font la pluie et le beau temps. Comme si une consigne est passée par là. J’apprends aussi que les ¾ sinon la quasi-totalité des sous-directions de ce Ministère est tenue par les Dioula. On m’a aussi signalé le cas d’un jeune Médecin occupant un poste de responsabilité dans l’une des sous-directions. Il a été poussé à partir (viré en douce) par la sous-directrice Dioula dès sa prise de fonction. Car elle devait nommer ses gars. En CI, sous ADO, ton nom détermine ton bonheur ou ton malheur. Enseignants ABBEY, ATTIE, BETE, DIDA, WOBE, GUERE, et tous ceux sur qui planent la suspicion d’aimer un autre leader autre que OUATTARA, vous êtes en danger. Ces derniers doivent s’arranger pour ne même pas avoir un problème dans leur cursus professionnel.La promotion professonnelle ne les concerne pas .Ils sont exclus. Ils subissent le diktat des nouveaux patrons sans cœur . Car une situation qui peut être réglée à l’amiable et rapidement est une croix pour ces fonctionnaires indexés ou marqués au fer rouge. Pourtant, on ne choisit pas son père ou sa mère, ni sa région de naissance. On a fustigé le pouvoir de GBAGBO pour ces pratiques. SORO a pris les armes pour éradiquer ce délit de fasciés. Cela à coûté aux ivoiriens plus de 5.000 morts, casses de la BECEAO, vols, viols, pillages, trafiques, crimes économiques et plusieurs voies de fait. Aujourd’hui au pouvoir, les victimes d’hier sont devenues des bourreaux et spécialisés dans le délit de faciès appelé le rattrapage. Elle a la peau dure cette infraction. Elle sévit au Ministère de l’Education Nationale comme une coutume. Mme KANDIA CAMARA CAMISSOKO, ayez pitié des ATTIE, des ABBEYS, WOBO, BETE, GUERE, ADJOUKROU, EBRIE, GOURO. Il faut les sauver.FRANCK LUSSE

La schizophrénie est une pathologie psychique qui vous coupe de la réalité. Vous êtes dans une fiction permanente que vous seul connaissez. ‘’ Si Dieu avait donné à la panthère des ailes, les hommes sur la terre seraient en sursis’’, dit un adage de chez nous. Le grand architecte sait lui seul, les raisons pour lesquelles, chacune de ses créatures est riche ou pauvre, laid ou beau, intelligent ou bête. J’ai compris beaucoup de choses. FELIX HOUPHOUET BOIGNY aura toujours raison sur nous. Dans un papier écrit des dix (10) doigts de Monsieur JOEL N’GUESSAN (porte-parole du RDR), paru dans plusieurs organes de presse, que j’ai pu consulter dans SOIR INFO du 25 juillet 2013, ce denier vient encore établer ses carences intellectuelles. A l’image de son secrétaire général, chargé des affaires juridiques, qui continue de vociférer sur tous les toits, à longueur de journée, pour une naturalisation de tous les étrangers en CI. Pour cause d’hospitalité, solidarité africaine, la CI est devenue un pays ‘’TOUTOU’’ ou certaines personnes croient que tout et permis. Sont-elles devenues folles ? Je vais répondre à ce vagabond politique, sans conviction, de JOEL N’GUESSAN qui ne saura pas dans quel parti militer, lorsque le RDR ne sera plus au pouvoir. JOEL N’GUESSAN dit: « je n’arrive plus à me faire l’idée que des individus ou des groupes de personnes se donnent des droits ancestraux illimités dans le temps sur la terre que seul bon Dieu a eu à créer.» D’abord JOEL N’GUESSAN doit savoir qu’il n’y a pas seulement la CI ou il y a de la terre. Au Burkina-Faso, mali, guinée, Ghana, Sénégal, bénin, Togo, Nigéria il y a de la terre. Nul en science juridique, pourtant on me dit qu’il a été Ministre des Droits de l’homme sous BANNIY (une erreur monumentale), JOEL N’GUESSAN doit rafraichir sa mémoire et revenir sur terre pour reconnaitre que les droits ancestraux sont acceptés par le code foncier rural en ces articles 2 et 3. S’il y a des terres sur lesquelles ne s’exercent pas des droits ancestraux en CI, c’est dans le village de JOEL N’GUESSAN. Il n’a peut être pas d’ancêtres, nous le comprenons. Il pose cette question: « peut-on imaginer qu’un terre mise en valeur donc procure à son propriétaire des revenus substantiels soient cédés pour devenir par la suite sujet ou objet de conflit ?» Ici, le porte-parole du RDR se contredit énormément. Il parle de propriétaire de terre à qui on a cédé le bien. Quel rang occupe ce dernier ? Peut-il avoir cession entre un seul individu ? S’il y a cession, c’est qu’on a un premier propriétaire et un dernier. JOEL N’GUESSAN reconnait implicitement que la terre a un propriétaire. Pourtant il refuse d’entendre que le foncier rural est composé de terre ou s’exerce des droits coutumiers ou des droits ancestraux. Il est de mauvaise foi. S’il n’a rien à dire qu’il se taise. Homme sans orientation politique aux intérêts égoïstes, mange et ferme là. Tu vomiras un jour. Il ajoute: « il ne faut pas s’étonner que les problèmes surviennent, surtout lorsque d’autres communautés plus industrieuses à la recherche des terres cultivables, prennent les initiatives pour s’en approprier toute proportion considérée.» c’est une injure aux paysans ivoiriens. JOEL N’GUESSAN veut dire que les ivoiriens, sinon les agriculteurs ivoiriens, sont des paresseux. Pourtant, les premiers lauréats de la coupe nationale du progrès sous HOUPHOUET BOIGNY n’étaient pas ressortissants de ces communautés dont parle JOEL N’GUESSAN. Si ces communautés selon le porte-parole du RDR sont si industrieuses, pourquoi ne vont-elles pas mettre en valeur les terres arides de leur pays ? Les américains ont mis en valeur le désert de l’Arizona. Si elles sont des bras valides, qu’elles aillent mettre en valeur les terres de leurs ancêtres. Elles sont à la recherche de terres cultivables selon le répondeur automatique du RDR. A la vérité, la CI n’est pas un pays où on distribue des terres cultivables.je ne cesserai de le répéter, il y a de la trere dans tous les pays du monde. Si ces communautés sont créatrices de richesse, qu’elles aillent apporter leur contribution dans la richesse de leur point d’origine. Le village de JOEL N’GUESSAN, par nécessité peut servir d’exemple. Le cas BARACK OBAMA est mal choisi par notre chroniqueur accidentel du RDR. BARACK est américain au regard des textes en vigueur. On n’a pas changé, ni falsifié ces textes pour qu’il soit américain. Toute personne étrangère, au pays de l’oncle SAM, qui désire être américain, suit la procédure de naturalisation.il n’y a pas d’appels d’offres de naturalisation de masse sans passer par les voies légales. JOEL N’GUESSAN termine: « au Ghana, plus près de nous, la savante combinaison du droit du sol et de sang a permis d’éviter les problèmes d’apatridie.» Ces ‘’fenêtres’’ du RDR, au lieu de cadres, choisissent toujours des exemples de l’étranger pour chercher à nous convaincre. BACONGO, le Sénégal. JOEL le Ghana. Ni le Ghana, ni le Sénégal, ne peut nous servir d’exemple à copier. Dans ces pays, les autorités ont eu le respect de demander l’avis des peuples. Par contre chez nous, les dictateurs veulent vaille que vaille nous imposer des lois impopulaires sur le foncier. Un autre conflit se prépare. Car les ivoiriens dans les villages, hameaux, campements ne se laisseront pas exproprier leurs terres pour cause de gentillesse, pitié, solidarité, hospitalité à l’endroit d’autrui. Franck lusse

L’organisation internationale de la francophonie dirigée par l’ex-chef d’état sénégalais n’a pas trouvé mieux que de désigner un criminel de nationalité ivoirienne, chef rebelle, pour jouer les médiateurs de cette institution, dans la crise égyptienne. La communauté internationale nous étonnera toujours par ses positions injustes, à vous donner des crises cardiaques. Si les hauts responsables de la francophonie font semblant d’ignorer les actes criminels de leur dernier médiateur, alors il est de notre devoir de leur rafraichir la mémoire. Monsieur SORO KIGBAFORI GUILLAUME, Chef de la branche armée du RDR (parti au pouvoir), appelée d’abord MPCI, MPIGO et MJP, devenue FRCI (Force Réservée pour les crimes Impunis en Côte d’Ivoire) par ordonnance présidentielle, est le responsable du massacre de plus de 1500 personnes dans la crise postélectorale en Côte d’Ivoire. Avant cela, dès l’éclatement de la rébellion en 2002, c’est sous son commandement que 45 gendarmes et 35 de leurs enfants et pupilles ont été arrêtés dès le 19 septembre, écroués au 3ème bataillon de BOUAKE, puis assassinés collectivement sans suite jusqu’aujourd’hui. Il faut noter que ces gendarmes n’étaient pas au front. Le plus jeune parmi les enfants avait 14 ans. Il ne faut oublier aussi que plus d’une dizaine de militaires (tout grade confondu) ont été arrêtés et assassinés. Tous étaient considérés comme des prisonniers de guerre. Ils ont donc été abattus, sous le commandement de SORO GUILLAUME, en faisant fi de la loi internationale relative aux prisonniers de guerre. SORO n’a pas empêché ces crimes d’être commis. Il n’a pas puni les auteurs. Il a même encouragé ces tueries. Il est donc auteur de ces atrocités qui heurtent la conscience collective dans ce pays. Il faut ajouter au palmarès criminel de SORO GUILLAUME, l’exécution de plus de cinq (05) vieilles femmes danseuses d’ADJANOU, arrêtées dans les villages d’ASSANDRE et ASSAFOU-N’ZEGOUANOU de la Sous-préfecture de SAKASSOU, dans la région de BOUAKE. Il ne faut oublier aussi les massacres de carrefour DUEKOUE (800 morts) et les nombreuses fosses communes qui contiennent des corps non identifiés dans plusieurs villes, villages et campements du pays de 2002 jusqu’à 2013. C’est donc ce criminel aux mains souillées de sang des innocents et inoffensifs civils qu’ABDOU DIOUF a choisi d’envoyer en Egypte. C’est comme vous envoyez un voleur régler un problème de vol. En mettant en mission OUMAR BECHIR du SOUDAN régler le problème de massacre au RWANDA, vous commettez une bêtise. SORO n’a pas fini de nous élucider les conditions dans lesquelles tous ces crimes ont été commis. Je comprends. Les informations récurrentes qui affirment que la mère de SORO GUILLAUME serait Sénégalaise confirme le comportement et l’attitude d’ABDOU DIOUF, à l’égard de notre chef rebelle. Il veut laver l’image de son neveu. Supposons que le Directeur d’une institution internationale, d’origine ivoirienne, choisit un chef rebelle criminel de la rébellion Casamançaise, pour en faire un interlocuteur directe dans la médiation de la crise congolaise qui oppose KABILA fils au M23 (une faction rebelle au Kivu), quelles seront les réactions du chef d’état sénégalais, des populations de ce pays, des rescapés de la rébellion sénégalaise et des parents des victimes ? ABDOU DIOUF ne peut pas me dire qu’il ignore que SORO GUIILLMAUE traine un boulet criminel. On veut blanchir SORO dans les crimes de 2002 jusqu’aujourd’hui. Malheureusement les victimes de sa barbarie réclament justice. Dieu est juste. SORO n’échappera pas. Qu’on le peigne en blanc, vert, rouge il demeure l’auteur de l’assassinat de plus de 2000 personnes en CI. Que la communauté francophone révise sa position à l’endroit de SORO le criminel. Les âmes pleurent et réclament justice. FRANCK LUSSE

S’il ya un pouvoir qui n’a pas tiré les leçons des crises passées sur la nationalité en CI, c’est le régime en place .Ce sont eux qui ont tiré sur la corde sensible de la nationalité pour réussir le coup d’état 99, faire partir GUEI, installer une rebellions en 2002.au pouvoir aujourd’hui il pense échapper à la colère des ivoiriens avec leur projet de loi indésirable, impopulaire, conflictuel au sein de la population. OUATTARA est ingrat à l’ endroit de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Il a été le 1er ministre du vieux.la convention de lutte contre l’apatridie date de l’indépendance. Pourquoi du vivant de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, il n’a pas eu le courage de la présenter en conseil des ministres, pour en faire un projet de loi ?c’est une trahison. Attendre 23 ans pour mettre son pays à feu et à sang pour des intérêts personnels, il faut reconnaitre l’ingratitude de nos dirigeants actuels.nul ne peut me contredire que FELIX HOUPHOUET BOIGNY n’avait pas connaissance de cette convention .les gouvernements successifs du vieux le savaient .s’ils ne l’ont pas ratifié ,ils ont des raisons très solides .un acte qui 52ans d’âge ressuscité par OUATTARA pour réveiller les vieux démons .FELIX HOUPHOUET BOIGNY a vécu la réaction des ivoiriens à sa proposition de la double nationalité. Une convention qui prône le droit de sol contraire au code nationalité ivoirien. On peut donc affirmer que cette norme internationale est opposée à notre constitution qui a fixé la loi sur la nationalité. A ce sujet l’article 86 de notre loi fondamentale est clair là-dessus .OUATTARA est –il prêt à soumettre au referendum son projet de loi et accepter le résultat qui en découle ?je ne le pense pas .vu la procédure d’urgence qu’il demande aux législateurs d’emprunter .tout ça c’est faire du faux .sachant bien que la convention et le code nationalité sont contraires l’un et l’autre. On veut forcer ou tordre le cou au droit.je n’ai aucune confiance au contrôle de constitutionalité de cette loi qui se fera par le conseil constitutionnel. L’autre projet de loi qui présente aussi des anomalies demande à nos parlementaires, de remettre en scelle la loi relative à l’application du droit de sol. Permettant ainsi aux enfants mineurs des étrangers nés entre1961 et1972 de bénéficier de la nationalité ivoirienne. Là encore on se demande pourquoi OUATTARA n’a pas soumis à son tuteur FELIX HOUPHET BOIGNY, de son vivant, cette idée ?en vérité c’est encore une ingratitude et une hypocrisie à l’endroit de don FEFE. En CI je le répète il n’ya pas d’ apatrides car tous les ressortissants étrangers vivant sur le sol avant 1960 ont vu leur pays accéder à l’indépendance plutôt que la CI.GUINNEE 1958-MALI 20JUIN 1960-BURKINA FASO 05 AOUT 1960.leurs ressortissants étaient considérés comme les nationaux de ces pays dès leur indépendance .Alors où est le problème ?Pourquoi veut on faire d’eux coute que coute des ivoiriens ?ces enfants étrangers mineurs dont on parle ,le plus âgé a aujourd’hui 52ans et le plus petit 42 ans .Avec quel document ou pièce d’identité sont ils allés à l’école ,ont-ils voyagé pendant tout ce temps ,fait des transactions à la banque et accompli d’ autres actes ?le pouvoir en place ne peut affirmer ,droit dans les yeux des ivoiriens ,que pendant 52 ans ou 42 ans ,ils étaient sans nationalité et sans papiers .faux et faux .Mensonges .Arrêter de falsifier modifier et créer ou préparer le terrain à d’autres affrontements .Nous sommes fatigués des magies de OUATTARA concernant la nationalité ivoirienne et les droits plus les documents administratifs qui en découlent .Naturaliser 8000 burkinabé avant la ratification de la convention de 1961,c’est faire du faux .FRANCK LUSSE

Du vivant du 1er président de la ci, la Haute- volta sinon le Burkina- Faso ne manifestait aucune intention, par voies et moyens détournés, d’annexer notre beau pays. L’arrivée au pourvoir des hommes aux multiples nationalités, rend la CI redevable à l’endroit du pays des hommes intègres .Des hommes politiques, sinon des politiques comédiens traitent les ivoiriens de communautés moins industrieuses.Une population paresseuse.Et cela selon l’argument que ce sont les voltaïques qui ont batti ce pays .Par conséquent on leur doit. .En vérité, tous les voltaïques qui ont travaille sur les chantiers de construction (pont FELIX HOUPHOUET BOIGNY-CANAL DE VRIDI-PONT DEGAULLE-IMMEUBLES –TOURS)ont tous reçu leur salaire ,ça n’a pas été gratuit.il y en a qui émargent jusqu’aujourd’hui dans les registres de la CNPS. Nous n’étions pas au temps des travaux forcés ou de la traite négriere.La CI ne doit à personne .Il a fallu que OUATTARA prenne le pouvoir pour que, nous ivoiriens, nous nous rendions compte qu’il ya des apatrides dans ce pays .Ils sont composes en grande partie de burkinabes .non,du mensonge, de la falsification toute faite .c’est maintenant que les ivoiriens découvrent l’existence d’une convention de lutte contre l’apatridie. Elle date de 1961,au temps du règne de feu FELIX HOUPHOUET BOIGNY.Si le bélier de Yamoussoukro n’a pas trouvé utile de ratifier cette convention avant sa mort ,il a ses raisons. il na pas eu tort ..Tout ce que recherche OUATTARA, c’est un conflit meurtrier, une guerre civile généralisée .Dans l’occupation illicite ,illégale des forets ivoiriennes, ce sont les ressortissants du BURKINA FASO qui sont indexés..Des ivoiriens peuvent ils occuper, de manière frauduleuse, une foret arborée dans le village BLAISE COMPAORE(ZYGNARE) ?des ivoiriens peuvent ils s’installer de force sur une portion de terre burkinabé et commettre des crimes impunément(AMADE OUEREMI) ?Dans l’administration publique ou privée ,les nominations de personnes d’ origines burkinabé saute aux yeux. Le clou de cette opération est de faire d’eux des ivoiriens forcement. Afin qu’ils soient propriétaires terriens et à la fin chasser les ivoiriens de leur village.la CI a tout fait pour rester en de bons termes avec ses voisins.Par contre eux ils veulent piller, détruire ce pays .OUATTARA trouve que FELIX HOUPHOUET BOIGNY n’a rien fait pour les étrangers et que le nord de la CI est en retard ..Ingratitude et hypocrisie quand tu nous tiens.De nombreux accords de coopération ,dans tel ou tel domaine, ont été signés tout récemment par OUATTARA et COMPAORE. En quoi les lois sur la nationalité et le foncier rural en CI intéressent- ils le BURKINA FASO ?si ce n’est que pour annexer ou devenir une sangsue sur le dos de la CI par personnes interposées d’origine Burkinabé(OUATTARA).Alassane peut établir les accords de coopération avec les pays qu’il veut.la nationalité et la terre sont deux points rouges à ne pas franchir. Dans un accord chaque pays privilégie ses interets.il ne s’agit de signer des accords de faveur au bénéfice du Burkina faso.la CI ne doit pas servir de poule aux œufs d’or.la CI n’a de compte à rendre à personne et n’est pas débiteur. Qu’on laisse les ivoiriens bénéficier des fruits du développement de leur pays.Au lieu, par artifice diplomatique, de chercher à les partager avec des pays tiers qui veulent faire de notre CI, un grenierFRANCK LUSSE