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dialoguonns

DATES A RETENIR POUR L’HISTOIRE

26 Mars 2014 , Rédigé par dialoguonns

19 septembre 2002: 13 Officiers Supérieurs de l’armée sont assassinés

dans une situation de non déclaration de guerre.

06/08/2002: 36 Gendarmes ont été faits prisonniers par le MPCI et assassinés dans la prison du 3ème bataillon de Bouaké.

35 enfants et pupilles de gendarmes ont été fait prisonniers et aussi assassinés par le MPCI de SORO GUILLAUME dans la même prison. Le plus jeune de ces enfants s’appelle GBAPA NASSA PACOME. Il était âgé en 2002 de 14 ans. Il est né le 01 janvier 1988. Il était en classe de 5ème.

09 Octobre 2002: 10 autres gendarmes sont assassinés dans la même prison du 3ème bataillon

10 Décembre 2002: Séquestrées et torturées à Bouaké depuis le 02 décembre 2002, date de leur enlèvement à ASSAFFOU N’ZEGOUANOU, 05 veilles femmes danseuses d’ADJANOU sont massacrées par le MPCI de SORO.

20/21 juin 2004: Suite à des rumeurs faisant état d’infiltration d’éléments pro-GBAGO dans la ville de Korhogo, les forces nouvelles (MPCI, MJP, MPIGO) procédèrent sous l’autorité de FOFIE KOUAKOU, com.-zone de Korhogo, à des rafles massives au sein des jeunes des quartiers KOKO et SOBA à Korhogo et les enfermèrent dans un conteneur jusqu’à étouffement de ces derniers. 99 cadavres sont découverts à Korhogo le 20 Aout 2004 par l’ONUCI.

2002-2006: 523 planteurs Baoulé dans la région de l’Ouest ont été arrêtés, torturés, massacrés, assassinés par les Forces Nouvelles et des milices Pro-GBAGBO, in solidium, sur 12 000 planteurs à l’Ouest.

DATES A RETENIR POUR L’HISTOIRE

19 septembre 2002: 13 Officiers Supérieurs de l’armée sont assassinés

dans une situation de non déclaration de guerre.

06/08/2002: 36 Gendarmes ont été faits prisonniers par le MPCI et assassinés dans la prison du 3ème bataillon de Bouaké.

35 enfants et pupilles de gendarmes ont été fait prisonniers et aussi assassinés par le MPCI de SORO GUILLAUME dans la même prison. Le plus jeune de ces enfants s’appelle GBAPA NASSA PACOME. Il était âgé en 2002 de 14 ans. Il est né le 01 janvier 1988. Il était en classe de 5ème.

09 Octobre 2002: 10 autres gendarmes sont assassinés dans la même prison du 3ème bataillon

10 Décembre 2002: Séquestrées et torturées à Bouaké depuis le 02 décembre 2002, date de leur enlèvement à ASSAFFOU N’ZEGOUANOU, 05 veilles femmes danseuses d’ADJANOU sont massacrées par le MPCI de SORO.

20/21 juin 2004: Suite à des rumeurs faisant état d’infiltration d’éléments pro-GBAGO dans la ville de Korhogo, les forces nouvelles (MPCI, MJP, MPIGO) procédèrent sous l’autorité de FOFIE KOUAKOU, com.-zone de Korhogo, à des rafles massives au sein des jeunes des quartiers KOKO et SOBA à Korhogo et les enfermèrent dans un conteneur jusqu’à étouffement de ces derniers. 99 cadavres sont découverts à Korhogo le 20 Aout 2004 par l’ONUCI.

2002-2006: 523 planteurs Baoulé dans la région de l’Ouest ont été arrêtés, torturés, massacrés, assassinés par les Forces Nouvelles et des milices Pro-GBAGBO, in solidium, sur 12 000 planteurs à l’Ouest.

DATES A RETENIR POUR L’HISTOIRE

19 septembre 2002: 13 Officiers Supérieurs de l’armée sont assassinés

dans une situation de non déclaration de guerre.

06/08/2002: 36 Gendarmes ont été faits prisonniers par le MPCI et assassinés dans la prison du 3ème bataillon de Bouaké.

35 enfants et pupilles de gendarmes ont été fait prisonniers et aussi assassinés par le MPCI de SORO GUILLAUME dans la même prison. Le plus jeune de ces enfants s’appelle GBAPA NASSA PACOME. Il était âgé en 2002 de 14 ans. Il est né le 01 janvier 1988. Il était en classe de 5ème.

09 Octobre 2002: 10 autres gendarmes sont assassinés dans la même prison du 3ème bataillon

10 Décembre 2002: Séquestrées et torturées à Bouaké depuis le 02 décembre 2002, date de leur enlèvement à ASSAFFOU N’ZEGOUANOU, 05 veilles femmes danseuses d’ADJANOU sont massacrées par le MPCI de SORO.

20/21 juin 2004: Suite à des rumeurs faisant état d’infiltration d’éléments pro-GBAGO dans la ville de Korhogo, les forces nouvelles (MPCI, MJP, MPIGO) procédèrent sous l’autorité de FOFIE KOUAKOU, com.-zone de Korhogo, à des rafles massives au sein des jeunes des quartiers KOKO et SOBA à Korhogo et les enfermèrent dans un conteneur jusqu’à étouffement de ces derniers. 99 cadavres sont découverts à Korhogo le 20 Aout 2004 par l’ONUCI.

2002-2006: 523 planteurs Baoulé dans la région de l’Ouest ont été arrêtés, torturés, massacrés, assassinés par les Forces Nouvelles et des milices Pro-GBAGBO, in solidium, sur 12 000 planteurs à l’Ouest.

DATES A RETENIR POUR L’HISTOIRE

19 septembre 2002: 13 Officiers Supérieurs de l’armée sont assassinés

dans une situation de non déclaration de guerre.

06/08/2002: 36 Gendarmes ont été faits prisonniers par le MPCI et assassinés dans la prison du 3ème bataillon de Bouaké.

35 enfants et pupilles de gendarmes ont été fait prisonniers et aussi assassinés par le MPCI de SORO GUILLAUME dans la même prison. Le plus jeune de ces enfants s’appelle GBAPA NASSA PACOME. Il était âgé en 2002 de 14 ans. Il est né le 01 janvier 1988. Il était en classe de 5ème.

09 Octobre 2002: 10 autres gendarmes sont assassinés dans la même prison du 3ème bataillon

10 Décembre 2002: Séquestrées et torturées à Bouaké depuis le 02 décembre 2002, date de leur enlèvement à ASSAFFOU N’ZEGOUANOU, 05 veilles femmes danseuses d’ADJANOU sont massacrées par le MPCI de SORO.

20/21 juin 2004: Suite à des rumeurs faisant état d’infiltration d’éléments pro-GBAGO dans la ville de Korhogo, les forces nouvelles (MPCI, MJP, MPIGO) procédèrent sous l’autorité de FOFIE KOUAKOU, com.-zone de Korhogo, à des rafles massives au sein des jeunes des quartiers KOKO et SOBA à Korhogo et les enfermèrent dans un conteneur jusqu’à étouffement de ces derniers. 99 cadavres sont découverts à Korhogo le 20 Aout 2004 par l’ONUCI.

2002-2006: 523 planteurs Baoulé dans la région de l’Ouest ont été arrêtés, torturés, massacrés, assassinés par les Forces Nouvelles et des milices Pro-GBAGBO, in solidium, sur 12 000 planteurs à l’Ouest.

DATES A RETENIR POUR L’HISTOIRE

19 septembre 2002: 13 Officiers Supérieurs de l’armée sont assassinés

dans une situation de non déclaration de guerre.

06/08/2002: 36 Gendarmes ont été faits prisonniers par le MPCI et assassinés dans la prison du 3ème bataillon de Bouaké.

35 enfants et pupilles de gendarmes ont été fait prisonniers et aussi assassinés par le MPCI de SORO GUILLAUME dans la même prison. Le plus jeune de ces enfants s’appelle GBAPA NASSA PACOME. Il était âgé en 2002 de 14 ans. Il est né le 01 janvier 1988. Il était en classe de 5ème.

09 Octobre 2002: 10 autres gendarmes sont assassinés dans la même prison du 3ème bataillon

10 Décembre 2002: Séquestrées et torturées à Bouaké depuis le 02 décembre 2002, date de leur enlèvement à ASSAFFOU N’ZEGOUANOU, 05 veilles femmes danseuses d’ADJANOU sont massacrées par le MPCI de SORO.

20/21 juin 2004: Suite à des rumeurs faisant état d’infiltration d’éléments pro-GBAGO dans la ville de Korhogo, les forces nouvelles (MPCI, MJP, MPIGO) procédèrent sous l’autorité de FOFIE KOUAKOU, com.-zone de Korhogo, à des rafles massives au sein des jeunes des quartiers KOKO et SOBA à Korhogo et les enfermèrent dans un conteneur jusqu’à étouffement de ces derniers. 99 cadavres sont découverts à Korhogo le 20 Aout 2004 par l’ONUCI.

2002-2006: 523 planteurs Baoulé dans la région de l’Ouest ont été arrêtés, torturés, massacrés, assassinés par les Forces Nouvelles et des milices Pro-GBAGBO, in solidium, sur 12 000 planteurs à l’Ouest.

DATES A RETENIR POUR L’HISTOIRE

19 septembre 2002: 13 Officiers Supérieurs de l’armée sont assassinés

dans une situation de non déclaration de guerre.

06/08/2002: 36 Gendarmes ont été faits prisonniers par le MPCI et assassinés dans la prison du 3ème bataillon de Bouaké.

35 enfants et pupilles de gendarmes ont été fait prisonniers et aussi assassinés par le MPCI de SORO GUILLAUME dans la même prison. Le plus jeune de ces enfants s’appelle GBAPA NASSA PACOME. Il était âgé en 2002 de 14 ans. Il est né le 01 janvier 1988. Il était en classe de 5ème.

09 Octobre 2002: 10 autres gendarmes sont assassinés dans la même prison du 3ème bataillon

10 Décembre 2002: Séquestrées et torturées à Bouaké depuis le 02 décembre 2002, date de leur enlèvement à ASSAFFOU N’ZEGOUANOU, 05 veilles femmes danseuses d’ADJANOU sont massacrées par le MPCI de SORO.

20/21 juin 2004: Suite à des rumeurs faisant état d’infiltration d’éléments pro-GBAGO dans la ville de Korhogo, les forces nouvelles (MPCI, MJP, MPIGO) procédèrent sous l’autorité de FOFIE KOUAKOU, com.-zone de Korhogo, à des rafles massives au sein des jeunes des quartiers KOKO et SOBA à Korhogo et les enfermèrent dans un conteneur jusqu’à étouffement de ces derniers. 99 cadavres sont découverts à Korhogo le 20 Aout 2004 par l’ONUCI.

2002-2006: 523 planteurs Baoulé dans la région de l’Ouest ont été arrêtés, torturés, massacrés, assassinés par les Forces Nouvelles et des milices Pro-GBAGBO, in solidium, sur 12 000 planteurs à l’Ouest.

19 septembre 2002: 13 Officiers Supérieurs de l’armée sont assassinés

dans une situation de non déclaration de guerre.

06/08/2002: 36 Gendarmes ont été faits prisonniers par le MPCI et assassinés dans la prison du 3ème bataillon de Bouaké.

35 enfants et pupilles de gendarmes ont été fait prisonniers et aussi assassinés par le MPCI de SORO GUILLAUME dans la même prison. Le plus jeune de ces enfants s’appelle GBAPA NASSA PACOME. Il était âgé en 2002 de 14 ans. Il est né le 01 janvier 1988. Il était en classe de 5ème.

09 Octobre 2002: 10 autres gendarmes sont assassinés dans la même prison du 3ème bataillon

10 Décembre 2002: Séquestrées et torturées à Bouaké depuis le 02 décembre 2002, date de leur enlèvement à ASSAFFOU N’ZEGOUANOU, 05 veilles femmes danseuses d’ADJANOU sont massacrées par le MPCI de SORO.

20/21 juin 2004: Suite à des rumeurs faisant état d’infiltration d’éléments pro-GBAGO dans la ville de Korhogo, les forces nouvelles (MPCI, MJP, MPIGO) procédèrent sous l’autorité de FOFIE KOUAKOU, com.-zone de Korhogo, à des rafles massives au sein des jeunes des quartiers KOKO et SOBA à Korhogo et les enfermèrent dans un conteneur jusqu’à étouffement de ces derniers. 99 cadavres sont découverts à Korhogo le 20 Aout 2004 par l’ONUCI.

2002-2006: 523 planteurs Baoulé dans la région de l’Ouest ont été arrêtés, torturés, massacrés, assassinés par les Forces Nouvelles et des milices Pro-GBAGBO, in solidium, sur 12 000 planteurs à l’Ouest.

DATES A RETENIR POUR L’HISTOIRE

19 septembre 2002: 13 Officiers Supérieurs de l’armée sont assassinés

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06/08/2002: 36 Gendarmes ont été faits prisonniers par le MPCI et assassinés dans la prison du 3ème bataillon de Bouaké.

35 enfants et pupilles de gendarmes ont été fait prisonniers et aussi assassinés par le MPCI de SORO GUILLAUME dans la même prison. Le plus jeune de ces enfants s’appelle GBAPA NASSA PACOME. Il était âgé en 2002 de 14 ans. Il est né le 01 janvier 1988. Il était en classe de 5ème.

09 Octobre 2002: 10 autres gendarmes sont assassinés dans la même prison du 3ème bataillon

10 Décembre 2002: Séquestrées et torturées à Bouaké depuis le 02 décembre 2002, date de leur enlèvement à ASSAFFOU N’ZEGOUANOU, 05 veilles femmes danseuses d’ADJANOU sont massacrées par le MPCI de SORO.

20/21 juin 2004: Suite à des rumeurs faisant état d’infiltration d’éléments pro-GBAGO dans la ville de Korhogo, les forces nouvelles (MPCI, MJP, MPIGO) procédèrent sous l’autorité de FOFIE KOUAKOU, com.-zone de Korhogo, à des rafles massives au sein des jeunes des quartiers KOKO et SOBA à Korhogo et les enfermèrent dans un conteneur jusqu’à étouffement de ces derniers. 99 cadavres sont découverts à Korhogo le 20 Aout 2004 par l’ONUCI.

2002-2006: 523 planteurs Baoulé dans la région de l’Ouest ont été arrêtés, torturés, massacrés, assassinés par les Forces Nouvelles et des milices Pro-GBAGBO, in solidium, sur 12 000 planteurs à l’Ouest.

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19 septembre 2002: 13 Officiers Supérieurs de l’armée sont assassinés

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35 enfants et pupilles de gendarmes ont été fait prisonniers et aussi assassinés par le MPCI de SORO GUILLAUME dans la même prison. Le plus jeune de ces enfants s’appelle GBAPA NASSA PACOME. Il était âgé en 2002 de 14 ans. Il est né le 01 janvier 1988. Il était en classe de 5ème.

09 Octobre 2002: 10 autres gendarmes sont assassinés dans la même prison du 3ème bataillon

10 Décembre 2002: Séquestrées et torturées à Bouaké depuis le 02 décembre 2002, date de leur enlèvement à ASSAFFOU N’ZEGOUANOU, 05 veilles femmes danseuses d’ADJANOU sont massacrées par le MPCI de SORO.

20/21 juin 2004: Suite à des rumeurs faisant état d’infiltration d’éléments pro-GBAGO dans la ville de Korhogo, les forces nouvelles (MPCI, MJP, MPIGO) procédèrent sous l’autorité de FOFIE KOUAKOU, com.-zone de Korhogo, à des rafles massives au sein des jeunes des quartiers KOKO et SOBA à Korhogo et les enfermèrent dans un conteneur jusqu’à étouffement de ces derniers. 99 cadavres sont découverts à Korhogo le 20 Aout 2004 par l’ONUCI.

2002-2006: 523 planteurs Baoulé dans la région de l’Ouest ont été arrêtés, torturés, massacrés, assassinés par les Forces Nouvelles et des milices Pro-GBAGBO, in solidium, sur 12 000 planteurs à l’Ouest.

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LISTE NOMINATIVE DES GENDARMES ASSASSINES PAR LE MPCI EN 2002

26 Mars 2014 , Rédigé par dialoguonns

Monsieur le Président, vous avez dit dans l’une de vos déclarations que l’impunité est terminée en Côte d’Ivoire. Madame BEN SOUDA, vous avez aussi rassuré les ivoiriens que d’autres mandats d’arrêt de la CPI sont en cours et que la Côte d’Ivoire servira d’exemple dans le cadre de la lutte contre l’impunité, à tous les criminels au pouvoir, dans l‘opposition, militaires. Voici pour vous, la liste nominative des gendarmes torturés, mitraillés ou assassinés dès l’éclatement de la rébellion conduite par SORO GUILLAUME en 2002.

Les gendarmes assassinés à BOUAKE dans la prison du troisième bataillon (6-7-8/10/2002). Vous lirez par n° d’ordre, nom et prénoms, unité et fonction.

  1. Lt /Cl DJAMAN IBO PIERRE, EM3 légion, Cdt 3ème légion
  2. A/C KOLEA ZADI BLAISE, EM légion, chef atelier
  3. A/C ANGATE ALLA, EM légion, chef armement
  4. Adjt/C NGOSSE COULIBALY, EM 3 GIE Bouaké, Adjt Cdt CIE
  5. Adjt N’DRI KONAN, EM3 légion, chef bureau INST
  6. MDL/C KAFFOUMBA KEITA, EM3 légion, chef service social
  7. MDL/C KAPIE KONE, EM3 légion, B courrier 3ème légion
  8. MDL/C TOBO GOMUM MICHEL, EM3légion, service santé
  9. OUATTARA KEGBENIARE, EM3 légion, armurier
  1. MDL/C GOHOU MOMBOHIN, EM3 légion, chef station radio
  2. DML/C POHI SENAYE, BDE, route Bouaké, chef station Radio
  3. MDL/C KAHOU BI BENIE, BDE de recherche Bouaké, homme de rang
  4. MDL/C ACHI AUDY, BDE de recherche Bouaké, homme de rang
  5. MDL/C OKOU GBALE, BDE de recherche, homme de rang
  6. MDL/C N’CHO N’GUESSAN, BDE ville Bouaké, homme de rang
  7. MDL/C OUSSOU TANOH, EM GLE Bouaké, homme de rang
  8. MDL/C KONAN YAO n° 1, EM3 legion, chef atelier montage
  9. MDL/C DJATCHI DALI, BDE ville Bouaké, homme de rang
  10. MDL/C ADOU KOFFI, BDE de recherche, homme de rang
  11. MDL/C ASSANDE ARMAND, EM3ème légion, opérateur radio
  12. MDL LIKPE BABO, BDE de recherche Bouaké, homme de rang
  13. MDL SOUMAHORO LOU, BDE ville Bouaké, homme de rang
  14. MDL OKOI JEROME, BDE ville Bouaké, homme de rang
  15. MDL COULIBALY NAMALA, EM3 légion, homme de rang
  16. MDL MAZAN KOUAHO, EM3 légion, opération
  17. MDL GNADJI ADE CAMILLE, EM3 légion, chef foyer
  18. MDL GBORO GAKPA HERVE, EM3 légion, pool dactylo
  19. MDL GNAGNE ALAIN, EM3 légion, service casernement
  20. MDL BLE SERY légion, EM3 légion, gérant foyer
  21. MDL N’GUETIA KOUMA, EM3 légion, service informatique
  22. ESO NENE, EM3 légion, homme de rang
  23. MDL BILE NOGBOU, EM3 légion, bureau sport
  24. MDL KOUAKOU JEAN-LOUIS, EM3 légion, chauffeur
  25. MDL ESO ESMEL LOUIS, EM3 légion, homme de rang
  26. MDL DIA BI KOUASSI, BDE ville Bouaké, homme de rang
  27. ESO KOUAME FAUSTIN JUIN, EM3 légion, homme de rang
  28. A/C YAPO ADIKO, EM3 légion, chef casernement
  29. A/C BAHA BONFILS, Bouaké recherche, CB
  30. A/C DOSSO MESSOLO, EM3 CIB Bouaké, élément
  31. Adjt SERY SOGLO NESTOR, EM CIL Bouaké, B personnel
  32. Adjt OBO BONI, EM3 légion, BDE
  33. Adjt DOUA GBONGUE, Bouaké recherche, CB adjoint
  34. Adjt KOUAKOU Jean, EM3, légion, atelier moto
  35. Adjt BROU KOFFI RAYMOND, BDE Bouaké ville, CB adjoint
  36. MDL/C CISSE MAMADOU, BDE Bouaké ville, CB Adjoint
  37. MDL GORE BI ZORO, EM3 3ème légion, BDE

Les gendarmes assassinés hors de la prison le 14/11/2002

  1. Adjt VLEHI DEHE PAUL, EM 3ème légion, Chef BRH
  2. MDL/C KOUE BI ZANLI, Bouaké recherche, homme de rang

Gendarme assassiné en pleine rue, en tenue civile, sur dénonciation (fin septembre 2002)

  1. MDL SOMBO MAMBO, BDE recherche, homme de rang,

Gendarmes assassinés dans d’autres villes

  1. MDL/C GLAZAHI SIABA LAURENT, mle 1946, BED Ferké, assassiné à Ferké
  2. MDL/C BEA KEUWA PIERRE, mle 20880, EMCIE Ferké, assassiné à Korhogo
  3. MDL N’GUESSAN KOUASSI ANTOINE, Mle 22031, BDE Napié, assassiné à Dikodougou.

Tous ces gendarmes ont été faits prisonniers. Ils n’étaient pas au Front. Pourtant, la convention de Vienne octroie des droits à tous les prisonniers de guerre. SORO GUILLAUME et le MPCI ont violé délibérément cette convention pour faire de ces gendarmes un charnier. Leurs corps n’ont jamais été retrouvés puisque ils ont été exhumés et enterrés quelque part sur le territoire burkinabé, pour éviter les enquêtes des organisations internationales de défense des droits de l’homme. Les épouses et les enfants de ces gendarmes attendent toujours le corps de leur mari ou de leur papa, pour leur accorder une sépulture digne de leur rang. FRANCK LUSSE

 L 'AUTEUR  DE L' ASSASSINAT DES 60  GENDARMES

L 'AUTEUR DE L' ASSASSINAT DES 60 GENDARMES

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A MONSIEUR GNENEMA COULIBALY, MINISTRE DE L’INJUSTICE DE COTE D’IVOIRE

26 Mars 2014 , Rédigé par dialoguonns

Monsieur le Ministre de l’Injustice de Côte d’Ivoire, garde des seaux des prisonniers politiques, je vous adresse ce courrier pour traduire ma satisfaction face à l’injustice que vous pratiquez, sous la conduite éclairée du guide de la ségrégation ethnique, monsieur ALASSANE DRAMANE OUATTARA. Je ne vous connais point d’Adam et Eve. Seule la crise postélectorale a pu vous projeter au devant de la scène politique ivoirienne. A l’image des ALPHONSE SORO, KARIM OUATTARA, SEKONGO FELICIEN, ALAIN LOBOGNON, SIDIKI KONATE et tous ces complices des crimes de tous ordres qui jonchent ce pays. Je vous ai écouté sur RFI. Vous affirmez que CHARLES BLE GOUDE est transféré à la CPI parce qu’il a crée la FESCI, il a attaqué l’ONUCI etc… parlant de la FESCI, si la CPI veut arrêter les personnes qui ont pactisé avec ce syndicat, GBAPÊ n’est pas le seul. SORO GUILLAUME, ton patron des Forces Nouvelles a écrit les plus belles de ce syndicat sous BEDIE. Pourquoi n’est-il pas au frais ? Il plastronne au parlement les mains et l’estomac bourrés du sang des ivoiriens innocents, mitraillés sur tout le territoire ivoirien depuis 2002 jusqu’à nos jours. Dites-moi Monsieur GNENEMA, en toute honnêteté, regardez le Dieu que vous priez, BLE GOUDE CHARLES est-il plus criminel que SORO GUILLAUME, votre chef de la rébellion, que AMADE OUEREMI, CHERIF OUSMANE, ISSIAKA OUATTARA dit WATTAO, LOSSENI (le com.-zone de l’Ouest), BEN LADEN (le Préfet de région de San-Pedro) ? Lorsque le soir, vous retrouvez votre famille, est ce que vous pouvez dire à votre épouse et votre enfant majeur que les seuls criminels en Côte d’Ivoire sont BLE GOUDE, LAURENT GBAGBO, SIMONE GBAGBO, DAMANA PICAS, DOGBO BLE etc… ?

Cependant, vous n’avez jamais avoué votre rôle en tant que force nouvelle dans les crimes de tout degré, commis par MPCI, MPIGO, MJP devenus Forces Nouvelles transformées en FRCI.

Monsieur GNENEMA, lorsque vous regardez dans les yeux de votre dernier enfant, est ce que vous pouvez lui affirmer que les auteurs du coup d’état de 99 et de la rébellion sont HENRI KONAN BEDIE et LAURENT GBAGBO ? Vous avez voulu faire entrer clandestinement à la fonction publique 443 ex-combattants comme Agents d’encadrement. Je vous interroge aujourd’hui. Trouvez-vous cela juste, honnête, logique, au regard du nombre élevé de jeunes chômeurs ivoiriens diplômés, non ressortissants du Nord bien sûr, broyant du noir dans ce pays ? Monsieur GNENEMA, je vous le dit aujourd’hui. Ecrivez et gardez le quelque part. Vous n’êtes pas à l’abri des poursuites judicaires. Du fait du rôle que vous avez joué dans la rébellion. Dites le aussi à vos amis AFFOUSSIATA BAMBA, ALAIN LOBOGNON, SIDIKI KONATE et autres. Un jour, vous serez tous devant un Tribunal pour nous éclairer sur le rôle que chacun a joué dans la rébellion. Et pour cause les crimes commis par la rébellion. Vous pouvez maintenant sourire, rire et même ne pas croire. Le temps viendra où vous vous souviendrez de ce que je vous dis actuellement. Mon frère GNENEMA, je te fais une autre révélation. Suis là de près. Beaucoup parmi vous ne seront pas à la célébration du 21ème anniversaire du décès du président FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Car tous ceux qui ont trahi le pacte de FELIX HOUPHOUET BOIGNY disparaitront petit à petit de la Côte d’Ivoire. Jette un coup d’œil dans le rétroviseur et tu comprendras. Cogite et analyse. L’injustice dont le Ministère t’est attribué, sera la fosse qui t’engloutira. Vous pouvez, vous Forces Nouvelles, célébrer aujourd’hui la fortune, la gloire et le sexe. Cependant, je suis convaincu, avec une forte dose, que vous n’échapperez pas à la corde que vous nous avez offerte pour nous pendre. Le cosmique ou le grand architecte le fera pour nous avec plaisir. Les casses de la BECEAO, les pillages, les assassinats, l’injustice, mon frère GNENEMA, nul ne peut échapper à vie, à l’effet boomerang de tous ces actes. La justice divine te consacrera un jour. Bonne continuation en ta qualité de ministre de l’injustice. FRANCK LUSSE

MINISTRE DE L INJUSTICE DE CI

MINISTRE DE L INJUSTICE DE CI

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CORRIDOR D’AZAGUIE, UN CHARNIER BIENTOT

14 Mars 2014 , Rédigé par dialoguonns

Les éléments FRCI au corridor d’AZAGUIE ne changeront jamais d’attitude, de comportement, de langage jusqu’à ce que le soleil s’éteigne. Ils n’arrêteront jamais aussi de se doper, droguer au chanvre indien, à la cocaïne et aux comprimées les mettant dans un état de dur à cuir.

De quoi s’agit-il ?

Le Mercredi 12 Mars 2014, il est 20 heures 38 minutes. En partance pour Agboville, dans le cadre d’une enquête d’opinion sur l’arrivée du criminel SORO GUILLAUME dans la région, une scène inhabituelle attire notre attention. Nous arrivons au corridor d’AZAGUIE à bord d’un véhicule personnel, après avoir traversé le barrage, nous entendons un jeune combattant supplétif en train de crier sur les passagers et un chauffeur dans le cadre d’une fouille d’un car de transport d’une compagnie. Ce jeune FRCI arborant un bonnet sur la tête, de taille moyenne et de teint noir mat, criait à tue-tête, menaçait, injuriait presque tout le monde. Les passagers descendus du car, sous la menace de l’arme de ce combattant drogué, étaient apeurés, effrayés, débouts dans les herbes et dans le noir de la nuit, regroupés comme s’ils avaient été arrêtés suite à une opération de rafle ou de ratissage. Le soldat supplétif tenait des propos qui frisent le meurtre en préparation. Stationnés à deux (02) mètres du car de transport, nous écoutions silencieusement. Nous avions enregistré les propos du soldat drogué qui disait: « descendez tout le monde, on va fouiller le car. Celui qui refuse de descendre va avoir la plus grande honte ce soir. Et il n’y aura rien. Nous sommes prêts. Un passager qui parle restera ici jusqu’à demain. Moi mon arme est prête. C’est chargé. Nous, on tue les assaillants, gare à celui, qui va parler. Les babiais (mère con) de passagers là »

Evidemment, l’homme avait son arme au point. Des fois, nous craignons que le tir parte seul et atteigne les passagers sur qui était braqué l’objet, balançant dans la main d’un drogué. Renseignement pris auprès du chauffeur et de certains passagers, il ressort des différents témoignages que cet élément a cette habitude de se comporter ainsi. Il est tout le temps sous l’effet de certains produits pour être au corridor. Il n’est pas à ses premières menaces avec son arme.

Monsieur KOFFI KOFFI PAUL, Ministre délégué à la Défense attend que ce Dozo, voyou, mitraille un jour un car bondé, pour pondre un communiqué relatif à une commission d’enquête et les condoléances du Gouvernement. Nos investigations pour obtenir les nom et prénom de ce dernier se sont avérées vaines. Néanmoins, cet individu ne fait plus d’un mètre 74. Il est impoli, irrespectueux, traitant les passagers des cars comme des esclaves. Il est bon encore de signaler que le corridor d’AZAGUIE a vu de nombreuses pertes en vie humaine. Le cas le plus récent est le soldat volontaire qui a reçu une balle par le menton sortie par le crane. Pour cause de racket. Un jour, un charnier sera fait là. Nous n’aurons que nos yeux pur pleurer à la grande satisfaction des criminels.FRANCK LUSSE

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FONCTION PUBLIQUE EN DANGER

14 Mars 2014 , Rédigé par dialoguonns

Le réaménagement technique fait par OUATTARA le MERCREDI 12 MARS 2014, va créer un bouleversement, dans le fond et dans la forme, du Ministère de la Fonction Publique.

En effet, l’informatisation totale de ce Ministère a permis la modernisation de ce département. Elle a contribué à l’entrée de plein pied, des fonctionnaires dans l’utilisation du NTIC, dans l’accomplissement de certains actes. Quoi qu’on dise, monsieur GNAMIEN KONAN, par la magie de l’informatique a pu débusquer des faussaires notoires des fichiers de la Fonction Publique. Le cas des 639 radiés est un exemple patent. La question que tout le monde se pose aujourd’hui est la suivante: Est ce que sieur CISSE BACONGO alias BOB sera à la hauteur dans le cadre de la gestion du Ministère de la Fonction Publique ? Pour moi, GNAMIEN KONAN réussira sa mission à coup sûr à l’Enseignement Supérieur. Ce que je crains, c’est le cas de BACONGO. Il nous inquiète. Le Député de KOUMASSI habitué aux pots de vin et aux mic-macs dans la gestion des affaires publiques va bientôt mettre en place son système pour immatriculer, intégrer tous ces apprentis criminels, analphabètes et autres désœuvrés des gares routières. Bientôt, tous ces vagabonds sans diplômes, frères, sœurs et cousins de Com.zone, listés dans le rang des ex-rebelles seront à la Fonction Publique. La Douane, le Trésor et tous les services publics recevront des nouveaux fonctionnaires qui n’ont réussi que pour seul test, le fait d’être parenté aux hommes du pouvoir ou d’avoir manier les armes. L’intégration des milliers de jeunes coxer, ferrailleurs, chauffeurs, voleurs va se faire à un rythme rapide sous l’air CISSE BACONGO. La triche, la corruption, la surfacturation, le désordre, l’anarchie va bientôt prendre le pas sur l’informatique. Tel je connais sieur BACONGO, il se creuse actuellement les méninges pour mettre en place une stratégie afin de se mettre plein les poches au grand dam de l’ordre remis à la Fonction Publique. Je me plaignais un moment de GNAMIEN KONAN. Mais en vérité, la méthode de l’informatisation de GNAMIEN KONAN de la Fonction Publique est appréciée de tous. Cependant, c’est le caractère intrinsèque de l’homme qui prend le pas sur l’intérêt général que nos dénonçons. En gros, sa trop grande rigueur dans un pays au sortir d’une crise meurtrière. L’injustice que j’ai dénoncée très tot s’est transformée en des actes justes posés par GNAMIEN KONAN. Car à la fin du contrôle des effectifs de la Fonction Publique, GNAMIEN m’a écouté et compris. Plusieurs fonctionnaires ont été rétablis dans leur droit, dès qu’ils ont prouvé avec des actes administratifs à l’appui, leur qualité. Aucun fonctionnaire n’a été radié sans preuve. Le rejet de l’intégration de 443 ex-combattants voulu par le Ministère de la Justice, par les services de GNAMIEN KONAN a montré à quel point GNAMIEN tenait à son système. CISSE BACONGO va bientôt gripper la machine. La porte ouverte au désordre. Combien de petits Nordistes solliciteront BACONGO pour être fonctionnaires ? wait and see. Aujourd’hui, ils sont nombreux les parents de BACONGO qui se lèchent les babines. Les dossiers des éléments des forces nouvelles et autres éléments Dozos, Combattants supplétifs surtout seront introduits sans problème. Les chômeurs sont connus. Ce sont les jeunes ivoiriens qui n’ont pas pris les armes et qui ne sont pas ressortissants du Nord. Bientôt, les bruits d’un bras de fer entre sieur BACONGO et un service de la Fonction Publique pourvoyeur d’argent se feront entendre. Même avec les syndicats de la Fonction Publique. L’argent et le recrutement parallèle seront la pomme de discorde entre sieur BACONGO et ses collaborateurs. Observez bien. Vous m’en direz des nouvelles. BACONGO ne peut vivre sans nuire et sans casserole. C’est un danger pour la Fonction Publique.

FRANCK LUSSE

CORRIDOR D’AZAGUIE, UN CHARNIER BIENTOT

CE MR MINISTRE DE LA FONCTION PUBLIQUE DE CI ,ADEPTE DU RATTRAPAGE

CE MR MINISTRE DE LA FONCTION PUBLIQUE DE CI ,ADEPTE DU RATTRAPAGE

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TOP 11 DES PERSONNES LES PLUS IMPOPULAIRES DE COTE D’IVOIRIE (JANVIER, FEVRIER 2014)

9 Mars 2014 , Rédigé par dialoguonns

  • 1er ALASSANE DRAMANE OUATTARA: Auteur et co-auteur du coup d’état de 99, la rébellion et des corollaires de ces événements. Parrain des criminels qui ont causé mort et désolation dans les différentes familles du territoire ivoirien. Auteur de nombreuses fausses promesses électorales. Il est le plus vomis de tous les présidents de Côte d’Ivoire depuis 1960. Sa maladie a encore donné la preuve que plus de 60% des ivoiriens ne s’inquiètent pas pour lui. Jamais en Côte d’Ivoire la maladie d’une haute personnalité n’a fait sauter de joie une bonne frange de la population. Il est le père de la distribution de l’impunité. Il est le protecteur de tous les locataires de la CPI et des tribunaux locaux surtout dans son clan. La CI est le pays qui regorge sur son sol le plus grand nombre de criminel de guerre que recherchent les tribunaux locaux et la CPI.
  • 2ème SORO GUILLAUME: Auteur et co-auteur des nombreux crimes perpétrés par ses hommes appelés Forces Nouvelles, FRCI depuis 2002 jusqu’en 2014. Le seul salut pour la réconciliation en CI est le transfèrement de SORO à la CPI. De par sa position officielle, il est juge et en même temps partie dans le conflit ivoirien. Lui-même est un problème en C.I. sa guéguerre avec HAMED BAKAYOKO constitue un acte de d’impopularité aux yeux de 80% des ivoiriens. Il bénéficie de la prime à l’impunité à lui léguée par la CPI et ALASSANE OUATTARA.
  • 3ème AMADOU SOUMAHORO: La violence verbale de ce monsieur constitue une plaie dans la politique ivoirienne. Il veut tout obtenir à partir de la violence. Pour lui la modification de l’article 35 est une question de vie ou de mort. Pourtant, cette modification doit passer obligatoirement par un referendum comme le dit la constitution. Or AMADOU SOUMAHORO veut faire un passage en force en violant la Constitution. Il est un danger pour la démocratie ivoirienne.
  • 4ème HENRI KONAN BEDIE: Il est en déphasage avec ses militants sur la gestion du parti et la candidature du PDCI à la présidentielle de 2015. Il veut tout céder à OUATTARA, ses militants disent non. Dans le cadre de la violation des droits de l’homme et des procès des bourreaux, BEDIE ne fait rien pour que les victimes de SAKASSOU, BOUAKE, YAMOUSSOUKRO, BOUAFLE, BEOUMI, TOUMODI, DIMBOKRO etc… soient entendus et que leurs bourreaux soient déférés devant les tribunaux. Il travaille contre son propre peuple d’où son impopularité dans ce pays. Son égoïsme est aussi une cause.
  • 5ème Les COM.ZONES: (KONE ZACHARIA, CHERIF OUSMANE, LOSSENI, WATTAO, BEN LADEN, JAH GAO, VETCHO) tous reconnus par les ONG de défense des droits de l’homme comme de gros violateurs des normes relatives aux droits des ivoiriens. Les crimes économiques, ils en ont commis beaucoup. Les pillages et les casses, ils en sont les commanditaires dans le pays. Néanmoins, ils ont libres. Ils sont même promus.
  • 6ème LES DOZOS: Grands criminels devant l’éternel, cette confrérie de chasseurs est passée dans l’art d’assumer les fonctions régaliennes relatives à la sécurité dans l’état de CI. Identiques aux camajors de la sierra lionne, ils ne cessent de faire parler d’eux de part leurs mauvaises actions dans la vie courante des ivoiriens. Ils sont intouchables. Arrestations, justice, ils ne connaissent pas.
  • 8ème Les 08 burkinabés spoliateurs de terre à l’Ouest: ces burkinabés sont venus à la faveur de la crise postélectorale pour s’emparer des terres et plantations appartenant aux autochtones Guéré et autres ethnies de l’Ouest. Et cela sous le regard et l’approbation des autorités militaires, administratives et politiques du pays. Ils sont intouchables.
  • 9ème G 25: un groupe de parlementaire au nombre de 25 qui se bat pour une candidature unique de OUATTARA. Pourtant, ce groupe à la vision étriquée de la démocratie, faisant partie des décideurs dans le cadre du vote des lois au parlement, comporte en son sein de nombreux politicards aux intérêts égocentriques. D’ailleurs, la maladie de OUATTARA vient plonger leur campagne dans un état d’orphelin. Ils prêchent dans le désert et devient de plus en plus impopulaire. Chacun cherche à manger.
  • 10ème monsieur KOUA JUSTIN (JFPI): Les propos violents de monsieur KOUA JUSTIN nous rappellent l’ère LAURENT GBAGBO. Le temps où si vous n’êtes pas refondateurs, vous êtes alors contre eux. Ce qui a occasionné la chute de la popularité de GBAGBO au sein de certains peuples. Trop forcer sur la corde, nous ramène à la case du départ. C'est-à-dire on finit par avoir peur du groupe des refondateurs. Par conséquent, le combat est souvent incompris par une bonne partie de la population. Un ton apaisant, regrouperait plus d’ivoiriens que de les repousser.

11ème Le Patriote: Journal mille collines de Côte d’Ivoire, il s’est permis de traiter FELIX HOUPHOUET BOIGNY et son parti de vautour. Alors qu’en 93, les vrais Vautours étaient ALASSANE OUATTARA, HAMED BAKAYOKO, le Patriote et tout le clan OUATTARA. Un journal à déconseiller à tout homme vivant sur

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KARIM OUATTARA, LA TAUPE ET FAUX CONSEILLER DE BANNY

9 Mars 2014 , Rédigé par dialoguonns

KARIM OUATTARA, l’espion de SORO GUILLAUME auprès de BANNY, une taupe au service des rebelles à la CDVR, n’est en vérité qu’un Conseiller en faux. Au lieu d’aider BANNY à résoudre l’équation de la réconciliation, il créer à CKB d’autres soucis. Je me demande les critères de choix qui ont prévalu à sa nomination à la CDVR. Surtout qu’il n’est pas le seul. La CDVR est-elle truffée d’espions au service du clan des rebelles et de OUATTARA ? Le temps nous le dira un jour. Pendant que le CDVR entame les 05, 06 et 7 ème étapes de sa mission, monsieur KARIM OUATTARA qui s’auto désigne Conseiller de BANNY, parle d’autres choses. Pour preuve, dans une interview accordée au journal Inter parue le 07 MARS 2014, voici quelques propos tenus par le pseudo Conseiller en réconciliation: « Dans le cadre du processus de réconciliation en Côte d’Ivoire… j’ai pu rencontrer les jeunes de plusieurs obédiences politiques, les jeunes de plusieurs horizons, notamment à l’Ouest, au Nord, au Sud, du Centre et à l’Est. Je me suis rendu compte que la problématique majeure soulevée par l’ensemble des jeunes, c’était l’emploi.» KARIM OUATTARA pense que pour résoudre le problème de la réconciliation, il faut donner des emplois aux jeunes. D’où sort ce KARIM OUATTARA ? Un autre analphabète à la CDVR. Il ne sait même pas les causes de la crise et brandit une solution qui n’a rien avoir avec la réconciliation en Côte d’Ivoire. S’il suivait à la lettre le travail de la CDVR et les résultats des nombreux séminaires scientifiques de cette structure, KARIM OUATTARA la fermerait. La crise est politique et la réconciliation requiert des solutions qui apaisent d’abord les victimes. A savoir rendre justice et par exemple déférer les criminels devant les tribunaux. Surtout SORO GUILLAUME KIGBAFORI. « C’est SORO GUILLAUME qui m’a payé le billet d’avion d’une valeur de 3.000.000 F CFA. Il a accepté de le faire spontanément ». KARIM OUATTARA affirme ici travailler pour SORO. C’est son véritable patron. Si les résultats de son voyage étaient au bénéfice de la CDVR, BANNY aurait payé le billet d’avion. Comme il torpille tout le temps le travail de la CDVR pour le compte de SORO, seul ce criminel patenté peut lui offrir le ticket Abidjan-New-York-Abidjan. Notons que SORO et sa bande des Forces Nouvelles sont les bourreaux de nombreuses victimes à BOUAKE, KORHOGO, MAN et d’autres localités du pays. Sachez aussi que SORO ne peut pas s’entendre avec BANNY. Car le travail de ce denier consiste à débusquer les assassins des femmes d’ADJANOU à SAKASSOU, des 60 Gendarmes à Bouaké, les 90 jeunes dans le conteneur à KORHOGO. BANNY a aussi porté plainte en sa qualité de Gouverneur de la BECEAO contre les casseurs, les pilleurs des agences BECEAO de Bouaké, de KORHOGO et de Man. Donc, SORO a une dent, une haine viscérale contre BANNY.

« Qu’est ce que vous avez envoyé des Etats Unis ?

Réponse de KARIM: là je suis entrain de m’activer pour recevoir un grand groupe de constructeurs des Etats Unis. Ils sont en route. C’est d’ailleurs pourquoi je suis en contact avec le Commissaire de l’aéroport, pour m’assurer qu’ils vont être bien reçus …. La structure s’appelle WESTLAND CONSTRUCTION…. Je leur demande de venir pour voir dans quelle mesure ils peuvent venir former les jeunes, dans le cadre de l’application de technique de construction et même de l’électricité…j’ai aussi rencontré les jeunes Sénégalais qui sont basés à WASHIGTON DC… j’ai rencontré l’expert en Agriculture de Piscor. J’ai déjeuné avec ce monsieur, grâce au père JEAN CLAUDE ATUSAMESO. Je lui ai dit ‘’je veux vous faire venir en Côte d’Ivoire pour vous faire apprendre des métiers aux jeunes…’’ « je suis pratiquement à plus de 12 grosses structures qui sont prêtent à se déplacer. Là quand je finis ce mois Mars, je vais en Avril au Congo pour voir un programme avec un autre jeune Sénégalais qui en train de mettre en place un autre programme d’intégration de 1000 jeunes par année » KARIM OUATTARA dévoile réellement son rôle dans la vie et le travail qu’il accomplit pur le compte de SORO le criminel. KARIM est un businessman et est aux ordres de SORO. Si la CDVR était son employeur, il serait parti sensibiliser les ivoiriens aux Etats Unis dans le cadre de la réconciliation. Avec ses propos, il affirme qu’il est un homme d’affaire chargé de réaliser des projets pour le clan SORO. Car ce dernier ne peut pas lui payer un billet d’avion pour aller récolter des lauriers pour BANNY. Faux. KARIM OUATTARA n’est pas un Conseiller mais un businessman à la CDVR. Avec la carte et les titres qu’il détient, c’est un laisser passer pour lui pour faire ses affaires et non réconcilier les ivoiriens. Il travaille contre BANNY.

« Vous êtes membre de la CDVR, le processus de la réconciliation, à quel niveau sommes-nous ?

Réponse de KARIM: avant toute chose, puise qu’on parle de retour du chef de l’Etat, je voudrais lui souhaiter prompt rétablissement. Je sais que c’est un monsieur qui travaille beaucoup pour la relance économique de la Côte d’Ivoire. De l’extérieur, je sais l’image que la Côte d’Ivoire dégage. A chaque fois que je m’assieds sur une table avec des américains, ils ont deux indicateurs qu’on regarde: l’indice de sécurité et la croissance. Je lui souhaite prompt rétablissement et je souhaite qu’il se fasse bien comprendre parce que l’opposition aussi, c’est important. Parce que c’est l’opposition qui va lui permettre de réussir convenablement son projet. S’il n’a pas une opposition vigoureuse en face, il va dormir aussi sur ses lauriers.»

Chers lecteurs, lisez la question et regardez la réponse. KARIM OUATTARA a t-il répondu à l’interrogation du journaliste ? En vérité, KARIM OUATTARA ignore carrément les différentes étapes du travail de la CDVR. Il ne peut pas répondre à cette question. Il raconte des bêtises, divague, délire et va de coq à l’âne. Diantre, quelles sont ces incompétents qu’on nous présente chaque fois en Côte d’Ivoire, dans les différentes presse ? Lui aussi KARIM OUATTARA se prend pour un repère, une référence. La Côte d’Ivoire est vraiment tombée bas. Nos enfants ne doivent ni lire, ni voir ces idiots de nouvelle génération. « Il y a la deuxième phase qui a été enclenchée au niveau de la CDVR. De quoi s’agit-il ?

Réponse de KARIM:…avant, c’était les résultats d’enquête, étude, sensibilisation et autres. C’est quand on va arriver à la phase réparation morale, financière, que les victimes toucheront aux résultats concrets apportés par la CDVR. Quoi que ce ne soit pas la CDVR qui fait les réparations. La CDVR fait des recommandations des réparations, fait des études et les enquêtes pour identifier les vraies victimes de la crise.» A travers cette réponse, on constate que KARIM OUATTARA disjoncte. Il ne sait pas quoi dire, il mélange les torchons et les serviettes. La CDVR fait des recommandations de réparation mais ne répare pas. Pour ce monsieur, la réconciliation se gagne en satisfaction financière des victimes. En homme d’affaires, KARIM OUATTARA voit le volet financier de la réconciliation pour y introduire de fausses victimes afin de récupérer les sommes allouées à ces pauvres personnes. Il anticipe déjà, il sait la structure qui va payer les réparations, une chose est sûr, ce n’est pas la CDVR. Il parle des victimes sans parler des bourreaux. Car les assassins des ivoiriens sont ses amis et frères. Un homme pareil à la CDVR, une erreur monumentale. « … la politique, ça se fait avec un gros cerveau. C’est l’intelligence et la stratégie. Ce n’est pas pour les gens idiots. C’est pour les intelligents.» là je suis d’accord avec lui. La politique n’est pas faite pour les personnes idiotes mais pour les plus intelligentes. En vérité, la réponse KARIM me sied. Car, la rébellion et ses démembrements regorgent de nombreuses personnes dont parle KARIM, de la tête au bas de l’échelle. KARIM OUATTARA n’est pas un homme politique donc il en fait partie. La branche politique de la rébellion est lui un nid de ce que dit KARIM OUATTARA.

En gros, BANNY doit nettoyer dans son entourage, sinon se débarrasser de ces personnes qui travaillent contre lui et la CDVR. Avant la crise postélectorale, aucun jeune de CI ne connaissait ni d’Adam et Eve KARIM OUATTARA. Idem pour SORO ALPHONSE. Aujourd’hui, ce sont ces gros idiots (le terme est de KARIM OUATTARA lui-même) qui veulent se donner du coffre pour s’ériger en modèle. Pourtant ils sont complices, auteurs, co-auteurs du pillage des ressources forestières, minières de la CI, des nombreuses violations des droits de l’homme (de graves crimes), des casses de la BECEAO. Il faut éloigner ces hommes si la CI veut être réconciliée.

FRANCK LUSSE

UN CONSEILLER ATYPIQUE DE BANNY

UN CONSEILLER ATYPIQUE DE BANNY

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MONSIEUR AHOUSSOU JEANNOT, PYROMANE ET FIEFE MENTEUR

9 Mars 2014 , Rédigé par dialoguonns

Nous, enfants et petits enfants de feu FELIX HOUPHOUET BOIGNY, disciples du Bélier de YAMOUSSOUKRO, sommes meurtris, indignés, mal à l’aise quand un cadre du PDCI se met à mentir, à raconter des inepties au peuple de Côte d’Ivoire. A la faveur des nombreuses modifications des textes qui régissent la Côte d’Ivoire, engagées par l’actuel régime au pouvoir, monsieur AHOUSSOU JEANNOT dans une déclaration publiée par l’Inter (encore), du Lundi 04 Février 2014, l’ex-premier Ministre soulève un problème qui va diviser plus ce pays. AHOUSSOU JEANNOT dans ses propos mensongers dit ceci:« la Constitution Ivoirienne en son article 35, contient des germes confligènes. Des considérations ethnologiques, sociologiques sinon anthropologiques qui rentrent dans le cadre d’une Constitution; ça devient très subjectif et difficile à appliquer.» Que dit l’article 35 de la Constitution du 24 Juillet 2000 ? Il stipule: « le candidat à l’élection présidentielle doit être âgé de 40 ans au moins ou 75 ans au plus. Il doit être ivoirien d’origine, né de père et de mère eux-mêmes ivoiriens d’origine. Il doit n’avoir jamais renoncé à la nationalité ivoirienne. Il ne doit s’être jamais prévalu d’une autre nationalité…» je m’arrête là. Nous savions que la bande à BEDIE est une association d’incompétents, guidée par leurs intérêts égoïstes. Parmi eux, figure en pole position monsieur AHOUSSOU JEANNOT. Il est le plus nul des Premiers Ministres que la Côte d’Ivoire ait connu. Son manque d’esprit proactif l’a plombé sur le siège de la primature. Incapable de donner un coup d’accélérateur, dans la résolution des problèmes les plus mineurs sous sa gouverne. AHOUSSOU JEANNOT a cru que la primature est un cabinet d’avocat ou le client y vient pour bénéficier des conseils juridiques. Or la Primature est une entité qui appartient aux ivoiriens. C’est l’occupant du poste qui va vers le peuple et est au service de la Côte d’Ivoire. Il doit faire preuve de créativité, d’ingéniosité, maitriser l’environnement socioéconomique et être incorruptible, rigoureux. Chose contraire au caractère de Monsieur AHOUSSOU JEANNOT. Plus grave, il a brisé la carrière de monsieur ANDRE SYLVER KONAN, en le cooptant dans son équipe, sans pourtant avoir réussi à faire de cet excellent journaliste, le communicateur attitré de la Primature. Aucun acte d’AHOUSSOU JEANNOT n’a été validé, accepté par la présidence donnant à ce journaliste que j’estime tant, la liberté d’apporter sa touche personnelle à la communication de la primature. Trop de gâchis avec AHOUSSOU JEANNOT. Pour ceux qui le connaissent pas, il est un ex-Conseiller municipal d’ATTECOUBE sous N’KOMO MOBIO ERNEST d’abord, ensuite sous KOUEDAN ROGER du PDCI. Avocat de BEDIE, je n’ai jamais entendu parler de son talent de défenseur de droit dans le temple de Thémis à ce poste. Tranquille avec BEDIE, pas de dossiers chauds, l’essentiel, encaisser ses honoraires. Avocat du PDCI, c’est le comble. Il s’est battu pour que le PDCI soit forclos, dans la saisine des structures électorales chargées de trancher les contentieux après le premier tour de l’élection présidentiel de 2010. Malgré la réalisation de cette prouesse, il demeure encore et toujours Avocat du PDCI. Au service de ses intérêts personnels, AHOUSSOU JEANNOT sèche ses habits là où le soleil brille. De père Burkinabé comme ALASSANE OUATTARA et mère Baoulé de RAVIART, (là-bas, tout le monde la sait) AHOUSSOU JEANNOT ne m’étonne pas dans son combat pour la modification de l’article 35 de la constitution. Il a pour petite sœur ADJA TRAORE ADISSA, neveu KARIM BAKAYOKO. Voici les personnes qui ont réagi à sa nomination de premier à RAVIART pour son compte. Les valses d’AHOUSSOU JEANNOT depuis LAURENT GBAGBO jusqu’à maintenant, ont contribué à créer des situations fâcheuses dans ce pays. Il dit une chose le jour, et une autre la nuit. Je vais lui rafraichir la mémoire. Quel genre de discours a-t-il tenu le jour de sa rencontre avec les ressortissants du grand Centre, quelques jours après sa nomination au poste du premier Ministre, à sa Résidence privée de la RIVIERA 3, en face des bureaux privés du Président de la CDVR CHARLES KONAN BANNY ? Peut-il nier aujourd’hui qu’il n’a apporté aucune contribution financière dans les préparatifs de la campagne présidentielle de 2010 (premier tour) à LAURENT GBAGBO ? Juste pour garantir un poste. Malheureusement au dernier moment, il a sauté les deux pieds joints chez OUATTARA. Revenons à l’article 35, au regard des clauses d’âge, des liens parentaux, de la jouissance de la nationalité et de la clause de la résidence, je veux demander à AHOUSSOU JEANNOT, quelle est la clause qu’il qualifie d’ethnologique, sociologique sinon d’anthropologique ? Demander que le candidat soit ivoirien d’origine, c’est mauvais ? Les parents du candidat soient eux-mêmes ivoiriens d’origine, où est le mal en ça ? Il y a des parents ivoiriens d’origine en CI. Mes parents en sont l’exemple. N’avoir jamais renoncé à la nationalité ivoirienne et ne s’être jamais prévalu d’une autre nationalité. A combien d’ivoiriens cette clause s’adresse ? Pas beaucoup en tout cas. L’application de l’article 35 écarte moins d’ivoiriens. Plus de 50% des ivoiriens sont en conformité, en harmonie avec cet article. Où est le problème ? En Côte d’Ivoire, surtout quand tout va bien, il ya toujours des hommes qui se disent clairvoyants, pour nous affirmer que quelque chose ne va pas. On fait tout pour que le pire arrive. C’est ce qu’ALPHA BLONDY appelle le négrine. Nos parents comme AHOUSSOU JEANNOT ont la négrine. Il faut tout faire pour fâcher une grande partie du peuple pour mieux diriger. Si l’homme était immortel, je demanderais que FELIX HOUPHOUET BOIGNY soit à vie le guide de ce pays. AHOUSSOU JEANNOT, après son limogeage déguisé de la primature à dit ceci: « le reniement est devenu le jeu favori des ivoiriens comme la trahison… » (Frat-Mat du 04/12/2012). Il sait à qui il s’adresse. C’est son cri de cœur après son départ, non prévu par lui, de la primature. Il a voté oui pour cette Constitution en 2000. Il a applaudi les modifications constitutionnelles de BEDIE avant le coup d’Etat de 99. Que veut-il encore ? Dans le département de DIDIEVI, AHOUSSOU JEANNOT est considéré comme le bourreau des cadres qui veulent émerger. S’ils ne sont pas menacés, ils rencontrent beaucoup de problèmes en chemin. Moi personnellement, l’article 35 me convient. Mon père est de MOROFE et ma mère de DIDIEVI. Mes grands parents du côté maternel comme paternel sont de DIDIEVI et de YAMOUSSOUKRO. Ils sont ivoiriens d’origine. Nous, nous nombreux dans ce pays qui sont en phase avec les clauses de l’article 35. Alors pourquoi la modifier ? On me parle de Marcoussis. Marcoussis ce n’est pas seulement la nationalité et l’article 35. Marcoussis demande de déférer tous les criminels de guerre devant les tribunaux nationaux et internationaux. Est ce que cela est fait du côté des pro-OUATTARA ? Que AHOUSSOU cesse d’amuser la galerie. Les ivoiriens ont faim, ils ont d’autres problèmes. Sinon les procès toxiques l’attendent et le rattraperont.

FRANCK LUSSE

ahoussou en action

ahoussou en action

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